Vietnam or Thailand ? Vote for the TOP Country of the Week !
Mis à jour: 3 mai 2025
En ce qui concerne Cui et Balakirev, je n'avais pas
Cui n'apparaissait que fort rarement parmi nous. Balakirev venait un peu plus souvent, mais se retirait de bonne heure. Après son départ, tout le monde respirait plus librement et chacun exécutait ses nouvelles œuvres.
De son côté, Cui jugeait Balakirev comme un maître de la symphonie, de la forme et de l'orchestration, mais mal préparé pour l'opéra et la composition vocale en général. Ils se complétaient donc, mais se sentaient chacun dans sa partie comme des maîtres accomplis. Par contre, Borodine, Moussorgsky et moi, nous étions traités en jeunes et inexpérimentés.
Balakirev instrumentait alors pour Cui l'ouverture du Prisonnier du Caucase. Avec quel enthousiasme j'assistais
La musique... Ah! j'allais vous dire quelque chose sur la musique, mais j'y renonce. Adieu, écrivez-moi vite, votre lettre me fera renaître et aussi le SOLEIL... Pauvre malheureux! vous habitez la neige!... Paris, avril 1868. Mon cher Stassoff, Vous m'avez appelé monsieur Berlioz dans votre dernière lettre et Cui aussi; je vous pardonne
Entre Balakirev et Cui les relations étaient autres; le premier estimait que celui-ci comprenait peu la symphonie et la forme et rien du tout dans l'orchestration. En revanche, il le considérait comme un vrai maître dans la partie vocale et lyrique.
Lorsque vingt-cinq ans après mon entrée au Conservatoire, mes collègues et la direction de la Société russe de Musique ont bien voulu me féliciter de mon jubilé, c'est cette même pensée que j'ai exprimée en réponse au discours de Cui. La Pskovitaine et la censure. La première représentation de la Pskovitaine.
Annal. Le sens est ici mal rendu. «Paucis eorum quasi ad nuntiandum reservatis.» Le texte latin édité porte: «In loco cui Munda nomen.» C'est aujourd'hui Munden, dans le duché de Brunswick-Lunébourg, et non pas Minden, comme le dit M. Guizot.
De même, notre attitude envers Balakirev et Cui était soumise; leurs avis étaient écoutés, acceptés et réalisés par nous sans la moindre hésitation . <tb>
Pendant mes visites chez Moussorgsky, nous causions en toute liberté, en dehors du contrôle de Balakirev ou de Cui. Je montrais toute ma joie quand il me jouait ses productions; lui en était heureux et me confiait tous ses projets. Il en avait plus que moi. L'un de ses projets était Sadko, mais il l'avait abandonné depuis longtemps et me le proposa. Balakirev approuva et je me mis
Mot du Jour
D'autres à la Recherche