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Mis à jour: 22 mai 2025
«Qu'est-ce que c'est?» disent Bacon et quelques autres, Corsino traduit le second terme de ma comparaison que je n'ai pas osé dire en français. Aussitôt éclate une trombe d'applaudissements, de cris, d'interjections, de: «C'est vrai! c'est vrai!» les verres violemment frappés sur la table volent en éclats. C'est un fracas
Tout le monde parle. Corsino raconte des anecdotes. J'arrive au moment où il commence celle-ci: Le 9 février 1807, il y eut grand concert
Nous sortons...... je le reconduis chez lui..... Assis tous les deux dans sa modeste chambre qu'éclaire la lune seulement, nous restons longtemps immobiles... Corsino lève un instant les yeux sur le buste de Gluck placé sur son piano... Nous nous regardons..... la lune disparaît..... Il soupire avec effort..... se jette sur son lit..... Je pars..... nous n'avons pas dit un mot....
Je voudrais bien savoir ce que vous feriez, mon cher Corsino, si,
.....Après quelques minutes de silence, les musiciens se lèvent. Le chef d'orchestre, invité par eux au banquet d'adieux qu'ils veulent me donner, les salue en passant et leur dit: «A demain!» (Bacon.) «Savez-vous que Corsino me fait peur? (Dimski.) Pour écrire des horreurs pareilles, il faut être atteint de la rage. (Winter.) C'est un Italien! (Derwinck.) C'est un Corse! (Turuth.) C'est un bandit! (Moi.) C'est un musicien! (Schmidt.) Oh! il est clair que ce n'est point un homme de lettres. Quand on n'a en tête que des contes aussi prétentieusement extravagants on ferait mieux d'écrire (Kleiner l'interrompant.) Une visite
Shetland était mort deux jours après Xilef, sans avoir retrouvé sa raison un seul instant; et aux funérailles des deux amis, dont la terrible fin demeura, comme tout le reste de ce drame, incompréhensible pour la ville entière, la consternation publique fut telle, que non-seulement les chants, mais même les bruits funèbres furent interdits. Corsino roule son manuscrit, et sort.
Ah! mon Dieu! s'écrie Corsino, voil
«Avec le système ingénieux dont vous nous expliquiez hier la pratique, me dit Corsino, et l'absence du public aux premières représentations, toute œuvre de théâtre doit réussir
Voici une lettre du fantastique Corsino, lettre toute hérissée de points d'interrogation et pleine d'observations assez désagréables,
Si votre second acte n'est pas terminé, j'en suis fâché, Corsino, mais je n'ai plus rien
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