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Mis à jour: 22 mai 2025


Eh bien, cela m'attriste, dit Corsino naïvement. Si épicier qu'il ait été, ce débutant était presque un homme, après tout. Je n'aime pas qu'on joue ainsi avec la mort. S'il siffla de son vivant la partition de Weber, je connais des individus bien plus coupables et dont on n'a pourtant pas vilipendé les restes avec cette cynique impiété. Moi aussi j'ai habité Paris et le quartier latin; et j'y ai vu

Pauvre Adolphe!.... «Le diable m'emporte, dit Moran, si Corsino en peignant son Provençal, ne nous a pas fait son propre portrait! C'est ce que je pensais tout

P. S. Vous êtes un lecteur attentif, Corsino. Oui, il n'est que trop vrai, beaucoup d'erreurs typographiques ont été commises dans la première édition de nos Soirées, et quelques-unes se sont encore reproduites dans la seconde. Cela me cause un véritable tourment. Deux de ces fautes surtout m'exaspèrent. La première a l'air d'une raillerie dirigée contre moi. Elle consiste dans l'omission de la lettre h dans le mot orthographe; omission qui me fait commettre une faute d'orthographe précisément dans le mot orthographe et dans une phrase je reproche

........ Long silence........ On soupire.... Puis on entend ces exclamations (Winter): «Poor Wretch! (Corsino) Ohi me! povero! (Dimsky) Pauvre diable! (Kleiner Jeune) Voil

L'opéra est fini; les musiciens s'éloignent en regardant Corsino d'un air d'incrédulité narquoise. Quelques-uns même laissent échapper cette vulgaire expression: Blagueur!... Mais je garantis l'authenticité de son récit. J'ai connu Marescot. Il en a fait bien d'autres!... CINQUIÈME SOIR

Moran, le premier cor, remet son instrument dans sa boîte et Corsino commence: * J'appelerai ma nouvelle LE SUICIDE PAR ENTHOUSIASME.

L'orchestre semble encore sous le coup des émotions de la veille; personne ne joue et pourtant on parle peu. On se ressouvient. On rumine le sublime. Corsino m'approche et me tend la main. «Mon pauvre ami, lui dis-je, j'ai été comme vous. Mais l'insensibilité brutale du public au milieu duquel j'ai vécu si longtemps a écrasé mon cœur; il n'a plus aujourd'hui cette force d'expansion que le vôtre possède, et quand le grand art expressif vous émeut comme il vous a ému hier soir, je n'éprouve plus qu'une angoisse cruelle. Songez, mon cher, qu'il m'est arrivé, il y a deux ans

Deux ans plus tard, j'oubliai encore de l'avertir quand je donnai mon premier concert au Conservatoire. C'est dans Virgile, dit Corsino, qui a entendu la demande et la réponse. Cela signifie: «Tu seras MarcellusEh bien... qu'est-ce donc que d'être Marcellus?

Il me serait fort difficile d'entrer plus avant dans l'analyse des œuvres de cet artiste-phénomène, œuvres toutes d'inspiration, et il faut voir principalement la manifestation écrite de ses merveilleuses facultés de virtuose. D'ailleurs... ces souvenirs ce soir... Et vous ne l'avez jamais entendu, me dit Corsino? Jamais..... Adieu, messieurs. DIX-SEPTIÈME SOIR

Dimski, Dervinck, Turuth, Siedler et vous, Corsino, vous ignorez ce qu'est Falstaff. Vous osez le dire! Mais vous êtes donc tous plus B. B. B. B. Bacon que Bacon lui-même! Falstaff un poëte! un guerrier! et vous avez prétendu souvent connaître Shakespeare!... Sachez donc, Messieurs mes amis les musiciens, que sir John Falstaff est un personnage important de trois pièces du poëte anglais, des deux tragédies de Henri VI et de la comédie des Joyeuses commères de Windsor; qu'il occupe encore l'attention du public dans un quatrième drame du même auteur, il ne paraît point, mais l'on vient raconter ses derniers moments. Sachez qu'il fut le favori de la reine

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