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Mis à jour: 20 juin 2025
Comp. Denys, II, 65. Eschyle, Suppliantes, 361 . Euripide, Oreste, 1605. Nicolas de Damas, dans les Fragm. des. hist. grecs, t. III, p. 394. Démosthènes, contre Néère. Xénophon, Gouv. de Lacéd., 13. Virgile, X, 175. Tite-Live, V, l. Censorinus, 4. Tite-Live, I, 18. Denys, II, 6; IV, 80. Plutarque, Agis, 11. Pindare, Ném., XI, 5. Aristote, Politique, III, 9.
Un point dans ces vastes mers, la petite île de Taïti, a été, dès les premiers pas des voyageurs, l'objet d'une attention, on pourrait dire d'une faveur particulière. Queiros la découvrit le premier en 1605, la décrivit avec complaisance, et lui donna le nom de Sagittaria, probablement parce que les flèches étaient les seules armes de ses sauvages habitants. Cent soixante ans s'écoulèrent sans qu'aucun voyageur connu visitât cette île ou prît la peine d'en parler. En 1767, Wallis y toucha et s'y arrêta; d'abord attaqué, puis bien accueilli par les insulaires, après plus d'un mois de séjour, l'île lui parut une si bonne station navale et un si agréable lieu de ravitaillement que, sans autorisation ni conséquence officielle, il en prit possession pour l'Angleterre et lui donna, en partant, le nom d'île du roi George III. Bougainville y aborda l'année suivante, et les Français, aussi bien accueillis que l'avaient été les Anglais, s'y plurent encore davantage, répondirent joyeusement aux avances qu'ils y reçurent, et en témoignèrent leur reconnaissance en appelant Taïti la nouvelle Cythère. Cook, dans le cours de ses voyages, aborda trois fois
On a quelques renseignements sur elle dans une chronique du couvent écrite, entre 1592 et 1605 , par la sœur Giustina Niccolini, qui avait entendu «nos très vieilles et révérendes mères» parler du séjour de Catherine au couvent. Les «mères avaient bien accueilli et choyé cette mignonnette de huit ans, de manières très gracieuses et qui d'elle-même se faisait aimer de chacun»... et qui «était si douce avec les mères et si affable, qu'elles compatissaient
Il serait sans intérêt de distinguer ici, comme nous l'avons fait pour les Essais, les deux rédactions successives de cet ouvrage, la rédaction anglaise de 1605 (Advancement of learning) et la rédaction latine de 1623 (De Augmentis scientiarum). Je renverrai uniformément
Nous trouvons la plus ancienne mention de l'arbre de Noël dans une description des usages de la ville de Strasbourg, en 1605. On y lit le passage suivant: «Pour Noël, il est d'usage,
Barentz en 1596, Weymouth en 1602, James Hall en 1605 et 1607, Hudson, dont le nom fut attribué
L'édifice, construit sur les dessins de Dominique de Cortone, assisté de Jean Asselin, maître des oeuvres de la ville, ne s'éleva que lentement: en 1550, il n'avait qu'un étage; interrompu pendant les guerres civiles, il fut repris en 1605 sous la direction de Ducerceau et par les soins de François Miron, prévôt des marchands; il ne fut achevé qu'en 1628. Il présentait une seule façade formée d'un corps de bâtiment avec deux pavillons et surmontée d'une campanille; au-dessus de la porte d'entrée était une statue de Henri IV, oeuvre remarquable de Pierre Biard. La cour, entourée de portiques, était décorée d'une statue de Louis XIV, chef-d'oeuvre de Coysevox. La principale salle était celle du Trône, qui servait pour les réceptions, les fêtes, les banquets, et qui était ornée de tableaux de Largillière, de Troy, de Porbus, représentant des cérémonies royales ou municipales. C'est, de tout l'hôtel, la pièce la plus féconde en souvenirs historiques; l
Estienne fut marié deux fois: en premières noces il épousa, le 12 octobre 1605
«Je fus donc avec ce vieillard depuis le mois de septembre 1605 jusqu'au mois d'août 1606, qu'il fut pris et mené au Grand-Sultan, pour travailler pour lui, mais en vain; car il mourut de regret par les chemins. Il me laissa
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