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Mis à jour: 26 mai 2025
Il n'y a de remarquable au long de la Mer, vers le fond de la Baye de Hudson, que la Rivière que nous nommons des Saintes Huiles, & que les Anglois appellent Hayes, où ils avoient formé un
Rencontre du comte Cereni Albizzi. Succès de ma mission. Sir Hudson Lowe.
Barentz en 1596, Weymouth en 1602, James Hall en 1605 et 1607, Hudson, dont le nom fut attribué
Il y a beaucoup de Castors dans la Baye de Hudson, & meilleurs même que ceux du Canada. Mais il est surprenant de voir la peine que les Sauvages ont
Outre le Castor, il se trouve des Loups cerviers, des Ours, des Martres, des Pequans, des Orignaux, des Elans, enfin de toutes sortes d'animaux dont les peaux sont les plus recherchées en Europe. La Baye de Hudson est sans contredit le lieu de toute l'Amérique, qui est le plus fecond dans cette sorte de richesse. On y a aussi l'agrément de la pêche pendant l'
S'il est besoin de preuves additionnelles pour rétablir la vérité, qu'on se donne la peine d'interroger les souvenirs de Port Hudson. Qu'on se retrace dans l'esprit la conduite héroïque du Premier Régiment, dans cette bataille mémorable. Qu'on se demande qui était le capitaine Cailloux, et l'écho de ce champ de bataille glorieux répondra.
En ce moment un pavillon blanc fut hissé sur la forteresse. Hudson Lowe demandait
Il y a fort loin dans les terres une Nation nombreuse, qu'on appelle les Plats-Côtés, qui n'a point d'autres ferremens que ceux qu'elle est venue ramasser dans les débris de l'incendie des Danois, ou qu'elle a ravis aux autres Sauvages qui y étoient venus avant elle. Ils se croioient bien payés de la fatigue d'un long voyage, lorsqu'ils avoient pû recueillir trois ou quatre petits clous longs comme le doigt, & tout mangés de rouille. Les Esquimaux du Détroit de Hudson y alloient aussi dans la même vûë; & cette avidité commune pour le fer des Danois, a donné lieu
Quant aux forces matérielles de l'île, Hudson Lowe avait
Cet échec n'y fit rien. Pendant plus de trois siècles, avec une persévérance étonnante, les explorateurs s'y acharnent. C'est une succession de martyrs. Cabot, le premier, n'est sauvé que par la révolte de son équipage qui l'empêcha d'aller plus loin. Brentz meurt de froid, et Willoughby de faim. Cortereal périt, corps et biens. Hudson est jeté par les siens, sans vivres, sans voiles, dans une chaloupe, et l'on ne sait ce qu'il devient. Behring, en trouvant le détroit qui sépare l'Amérique de l'Asie, périt de fatigue, de froid, de misère, dans une île déserte. De nos jours, Franklin est perdu dans les glaces; on ne le retrouve que mort, ayant eu, lui et les siens, la nécessité terrible d'en venir
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