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Mis à jour: 4 juin 2025


C'est dans une des salles principales de cet édifice, que Pierre de Cortone, ami de del Pozzo comme le Bernin, peignit

Le père Ferrari, pour mieux faire apprécier le mérite de sa publication, avait envoyé au Poussin, sous les auspices du commandeur del Pozzo, dans les premiers jours de janvier 1642 , le frontispice du livre des Hespérides, composé par Pierre de Cortone, et quatre feuilles de miniature représentant un citron coupé de différentes manières, avec l'explication de la formation de ce fruit. Le Poussin traita secrètement l'affaire, d'abord avec M. de Chantelou, ensuite avec M. de Noyers. Il lui remit le frontispice et les quatre miniatures avec leur explication, et sur la parole de M. de Chantelou, il se flattait qu'on ferait ce que le bon père et le commandeur désiraient, et que le prix de la dédicace serait bientôt convenu et la somme remise . Il n'en fut cependant pas ainsi: la cour quitta Paris, et le Poussin, pendant le peu de temps qu'il resta encore en France, ne put obtenir du cardinal de Richelieu la conclusion, de cette affaire. Après avoir vainement attendu plusieurs années, le père Ferrari dut se résigner

L'édifice, construit sur les dessins de Dominique de Cortone, assisté de Jean Asselin, maître des oeuvres de la ville, ne s'éleva que lentement: en 1550, il n'avait qu'un étage; interrompu pendant les guerres civiles, il fut repris en 1605 sous la direction de Ducerceau et par les soins de François Miron, prévôt des marchands; il ne fut achevé qu'en 1628. Il présentait une seule façade formée d'un corps de bâtiment avec deux pavillons et surmontée d'une campanille; au-dessus de la porte d'entrée était une statue de Henri IV, oeuvre remarquable de Pierre Biard. La cour, entourée de portiques, était décorée d'une statue de Louis XIV, chef-d'oeuvre de Coysevox. La principale salle était celle du Trône, qui servait pour les réceptions, les fêtes, les banquets, et qui était ornée de tableaux de Largillière, de Troy, de Porbus, représentant des cérémonies royales ou municipales. C'est, de tout l'hôtel, la pièce la plus féconde en souvenirs historiques; l

La carrière a été parcourue avec plus ou moins de succès en Italie par deux autres Espagnols, Emmanuel Ramirez de Cortone et Pedro de Castro, premier médecin du duc de Mantoue, qui instruisait le fils sourd-muet du prince Thomas de Savoie (toujours des sourds-muets dans cette pauvre maison de Savoie!); en Angleterre, par John Bulwer (le Philosophe ou l'Ami des sourds-muets, 1648), par J. Wallis (Traité grammatico physique de la parole ou de la formation des sons vocaux, 1660), par William Holder, Degby, Gregory et Georges Dalgarno,

Les relations de Pierre de Cortone avec le commandeur furent toujours très-suivies; on peut en juger par les lettres que cet artiste lui adressa, de 1641

La belle Artemsia, nonobstant sa mésaventure, n'en trouva pas moins un mari, Pier Antonio Schialtesi, qui l'abandonna dans la suite . Baldinucci raconte qu'elle avait inspiré une véritable passion au peintre Gio. Francesco Romanelli de Viterbe, élève de Pierre de Cortone. Cet artiste, se trouvant

Dans le dernier, qui est situé sur le Mont-Quirinal et dont la cour renfermait alors un obélisque égyptien, la voûte du grand salon est peinte par Pierre de Cortone; dans d'autres salles, on trouvait la Mort de Germanicus, du Poussin, une Magdeleine, et un Enfant endormi de Guide, et plusieurs beaux portraits de ce peintre.

[Note 583: Voy. dans Bottari les lettres du Cortone

On ne peut guère juger en France les grandes qualités que possédait Pierre de Cortone. Les sept tableaux de ce maître que possède le Louvre ne sont pas très-importants. D'ailleurs, c'est dans l'exécution des grandes fresques qu'il faut apprécier cet artiste. Il possédait l'art de bien disposer sa composition, d'en faire puissamment ressortir les effets principaux, et de donner

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