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I. p. 982 et 983. Theol., t. III, p. 1201 et 1203, et t. IV, p. 1301 et 1302. II, et t. Xxxvi: In Johan., et dans l'Append. du t. VI, De Fid. Ad Petr., c.

[Note 332: S. Iren., Contr. Hæres., II, xxviii, 6. Voyez aussi Bergier, Dict. De Théol. aux mots Saint-Esprit,

II, p. 1065, 1070. Theol. Chr., l. III, p. 1256 et seq., t.

Op., ep. IV, p. 239. Introd. ad Theol., l. II, p. 1047.

[Note 457: Ab. Op., Introd. ad. theol., p. 1007. Ouvr. Inéd., Dial., p. 193. M. Cousin a bien trouvé, dans un manuscrit du XIIe ou XIIIe siècle, une traduction inédite du Phédon; mais rien n'annonce qu'elle fût connue du temps d'Abélard, et d'autres faits indiquent que c'est précisément dans les dernières années de sa vie et après lui qu'un plus grand nombre d'écrits d'Aristote et de Platon commencèrent

Theol., pars 1, quæst. SUITE DE LA TH

Cf. Theol. Christ., I. V, p. 1350. IV. Ces variations dans le temps doivent se concilier avec l'immutabilité. Dieu, après l'oeuvre de six jours, s'est reposé le septième; le passage de l'action au repos est en physique un changement. Quand Dieu est descendu dans le sein d'une vierge, il a changé, il a encouru ce mouvement principal de la substance que les philosophes appellent génération . Dieu ne serait-il donc pas immutable? Maisen disant que Dieu fait, agit, gardons-nous d'entendre qu'il y ait pour lui, comme pour l'homme, mouvement dans l'opération, passion dans le travail; nous n'exprimons qu'un nouvel effet de son éternelle volonté. Dieu se repose, dit l'

[Note 227: Cf. Theol. Christ., t. III p. 1281. On a signalé ces passages comme étant de ceux qui annulent le mystère de la Trinité, en réduisant les trois personnes qui les composent

[Note 31: Une juste idée. Voi. entr'autres choses l'Instruction des Enfans Chrétiens que l'Auteur a traduit des Vers flamans en Latin. Tom. 4. Ouvrag. Theol. p. 629. Il a souvent même répété dans ses derniers Ouvrages que tout ce qui est nécessaire au Salut est clairement renfermé dans le Nouveau Testament. Voi. ses Remarq. fur les Consult. de Cassand.

Theol., I, q. P. Lomb. Sent., I, dist. En jugeant Abélard, il faut toujours craindre de le trop isoler. Si l'on ne considère que ses opinions, sans en connaître les antécédents donnés par l'histoire de la théologie, on risque de lui prêter une originalité ou une témérité qu'il n'a pas. Ce n'est pas lui qui a commencé