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Theol. Christ., t. III, p. 1261; et Fr. Frerichs, Commentat. Theo. crit. de Ab. Doct. p. 8.

Dogm. Theol., t. I, t. VI, c. vi, p. 340. Ab. S. Vict. Op., t. III. Summ. Sent. tract. i, p. 430. Hist. Littér., t. XII, p. 1 et 31. Rob. Pull. Sentent., pars i, c. xv. Brucker, Hist. crit. phil., t. III, p. 767. Rixner, ouvr. cité, t. SUITE DE LA TH

Christ., t. IX, p. 86, et t. Gervaise, Vie d'Ab., t. II, l. V, p. 229. Rec. des Hist. des Gaules, t. XIV; i praefat., p. XVI. S. Bern. De Considerat. l. I, c. III. Neander, S. Bern. et son siècle, l. II. Bergier, Dict. de Théol., art. Papauté; Not.

[Note 199: Introd., t. I, p. 1003-1040. Theol. Christ., t. II, p. 1200, et V, p. 1955, Abélard en s'appuyant ici de l'autorité de Platon ne fait que suivre les Pères platonisants. De tout temps, on a raisonné dans l'

I, p. 984. Theol. Chr., t. IV, p. 1320. Sic et Non, XIV, p. 42. P. Lomb., Sent., t. I, dist.

J'avoue que le rapport logique m'échappe. Abélard parle de la substance divine, Spinoza de la substance en général. Quand ce que dit ce dernier serait vrai ou plausible, faudrait-il en charger Abélard, dont le but est précisément de spécifier la substance divine, de déterminer ce qu'elle est et ce qu'elle n'est pas, de la distinguer de toute autre substance? C'est la substance incréée qu'il décrit; car il ajoute aussitôt: «Les créatures, au contraire, quelque excellentes qu'elles soient, ont besoin de l'adjonction d'une autre chose qu'elles, et ce besoin atteste leur imperfection» (Theol. Chr., p. 1265). Qu'Abélard ait tort ou raison, qu'importe donc que Spinoza applique

I, p.87, et la Theol. Christ., i. Un autre, en Bourgogne, établit que les trois propriétés, base de la distinction des personnes, sont trois essences, distinctes tant des personnes mêmes que de la nature divine, en sorte que la paternité, la filiation, la procession seraient des choses différentes de Dieu même.

VIII. S. Ans., op. Lib. de fid. Trin., c. Cf. Theol. Christ., t.

II, p. 1069, et Theol. Chr., t. Saint Bernard dit que le Père est sagesse et le Fils puissance. Abélard avait dit: «Chacune des personnes, étant de même substance, est de même puissance; le Père autant que le Saint-Esprit. La Trinité entière est sagesse, le Père autant que le Fils. La Trinité entière est charité. Dieu ne peut jamais être sans sagesse .» I, p. 698, t.

I, p. 1014, t. II, p. 1070, 1073, 1076, 1079. Theol. Chr., t. On vient de voir ce qu'Abélard pense des similitudes en général. On peut se rappeler comment il juge celles qu'avaient admises saint Augustin, saint Anselme, Tertullien. Voyons maintenant quelles sont celles qu'il tolère.