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Mis à jour: 2 juin 2025


Mais c'est Fritz et la petite Sûzel qui faisaient l'admiration universelle,

Mais tenez, voici ma femme que la petite est allée prévenirEn effet, la bonne mère Orchel, grosse et grasse, avec sa coiffe de taffetas noir, son tablier blanc et ses gros bras ronds sortant des manches de chemise, accourait aussi, la petite Sûzel derrière elle. «Ah! Seigneur Dieu! c'est vous, monsieur Kobus, disait la bonne femme toute riante; de si bonne heure?

«Encore, si c'était de la veuve Windling ou de la grande Salomé Roedig que tu sois amoureux, cela pourrait aller. Il vaudrait mieux te pendre mille fois, que de te marier avec l'une d'elles; mais au moins, aux yeux des gens, un pareil mariage serait raisonnable. Mais être amoureux de la petite Sûzel, la fille de ton propre fermier, une enfant, une véritable enfant, qui n'est ni de ton rang, ni de ta condition, et dont tu pourrais être le père, c'est trop fort! C'est tout

Ils rentrèrent dans le chemin creux de la côte. Les ombres s'allongeaient alors du haut de la roche de Saint-Maclof jusque dans la vallée; l'autre côté de la montagne était éblouissant de lumière. Hâan paraissait rêveur; Fritz penchait la tête, s'abandonnant pour la première fois aux sentiments de tendresse et d'amour qui, depuis quelque temps, faisaient invasion dans son âme. Il fermait les yeux, et voyait passer devant ses paupières rouges, tantôt l'image de Sûzel, tantôt celle de la pauvre enfant de Wildland. Le percepteur, très attentif

Fritz, lui, n'avait qu'une idée: « est-elle?» À chaque maison il se penchait, comme si la petite Sûzel eût paraître

Orchel, qui venait de sortir en essuyant ses joues avec son tablier, reparut apportant une bouteille et des verres: «Voici la bouteille de vin que vous nous avez envoyée par Sûzel, il y a trois mois, dit-elle

Puis, tous deux, marchant l'un près de l'autre reprirent le chemin de la maison, sans échanger une parole, aussi muets que leurs ombres, qui s'allongeaient devant eux. Suzel se voyait grande, grande, sous les rayons obliques du soleil couchant. Frantz paraissait maigre, maigre, comme la longue ligne qu'il tenait

«Au lieu que maintenant, surtout depuis que l'horloger de Hunebourg et ses deux fils viennent pêcher toute la sainte journée, et qu'ils emportent tous les soirs des truites plein leurs sacs, il n'y a plus moyen d'en avoir. Que pensez-vous de cela, monsieur Kobus, vous qui aimez le poisson d'eau courante? Toutes les semaines, Sûzel vous en porterait avec le beurre, les oeufs et le reste.

Frentzel, allons donc! Est-ce qu'elle est capable d'inventer quelque chose, et surtout des beignets pareils? Non... c'est la petite Sûzel, la fille de l'anabaptiste. Oh! dit Katel, cela ne m'étonne pas, cette petite est remplie de bonnes idées. Oui, elle est au-dessus de son âge. Tu vas me faire de ces beignets, Katel. Tu suivras la recette exactement, entends-tu, sans cela tout serait manqué.

Alors Sûzel, sa jolie figure cachée dans son tablier, et la tête penchée en arrière sur l'épaule, lui tendit la main; et quand Fritz l'eut serrée, elle rentra dans l'allée en courant. «Les enfants ont de drôles d'idées, dit l'anabaptiste. Tenez, elle a cru que vous vouliez la payer des choses qu'elle a faites de bon coeur. Oui, dit Kobus, je suis bien fâché de l'avoir chagrinée.

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