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Mis à jour: 2 juillet 2025
Frantz Niklausse aimait donc Suzel van Tricasse, mais paisiblement, comme on aime quand on a dix ans devant soi pour acquérir l'objet aimé. Toutes les semaines, une seule fois et
Je viendrai, Sûzel; demain ou après, bien sûr, j'irai vous voir.» Fritz avait alors une grande envie de jouer devant Sûzel; il la regardait en souriant et finit par lui dire: «Je jouais tout
Père Christel, répondit alors Fritz avec une sorte d'éloquence, si vous ne m'accordez pas la main de Sûzel, ou si Sûzel ne m'aime pas, je ne puis plus vivre; je n'ai jamais aimé que Sûzel et je ne veux jamais aimer qu'elle. Si Sûzel m'aime, et si vous me l'accordez, je serai le plus heureux des hommes, et je ferai tout aussi pour la rendre heureuse.»
Eh bien! donc, s'écria Christel, que la volonté du Seigneur s'accomplisse. Sûzel, tu viens de l'entendre, réponds toi-même. Quant
«Allons, Schwartz, allons, Horni... retournez-vous.... Laissez-moi passer!» leur criait Sûzel en les poussant de sa petite main potelée.
Ainsi s'exprima Hâan avec éloquence, et Schoultz, vidant son verre brusquement, lui répondit: «Tu parles comme un être pacifique, et moi comme un guerrier: chacun selon son goût et sa profession.» Il fronça le sourcil en décoiffant une seconde bouteille de vin. Christel, Iôsef, Fritz et Sûzel ne faisaient nulle attention
Sûzel et Fritz tournaient toujours: les cris, les trépignements de la foule ne leur avaient rien fait; et quand Iôsef, lui-même épuisé, jeta de son violon le dernier soupir d'amour, ils s'arrêtèrent juste en face du père Christel et d'un autre vieil anabaptiste qui venaient d'entrer dans la salle, et qui les regardaient comme émerveillés.
Alors il passa lentement la main sur son front, où brillaient des gouttes de sueur, et la mère Orchel, surprise de sa pâleur, lui dit: «Vous avez quelque chose, monsieur Kobus? Non, ce n'est rien», fit-il en se levant. L'idée qu'un autre allait épouser Sûzel lui déchirait le coeur.
Il posa la corbeille sur le lit, entre ses genoux, et, tout en causant, il prenait de temps en temps une cerise et la savourait, les yeux comme troubles de plaisir. «Ainsi, père Christel, reprit-il, tout le monde se porte bien chez vous, la mère Orchel? Très bien, monsieur Kobus. Et Sûzel aussi!
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