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Mis à jour: 2 juin 2025
Fritz et Iôsef, debout sur le seuil, regardaient la voiture; Fritz surtout ne la quittait pas des yeux; elle allait disparaître au détour de la grande rue, quand Sûzel tourna vivement la tête. Alors Kobus entourant Iôsef de ses deux bras, se mit
Mais, très bien, père Christel; je me plais de plus en plus ici, je suis comme un coq en pâte, votre petite Sûzel ne me laisse manquer de rien.» Si Sûzel se trouvait l
Sûzel avait repris son panier et s'en allait avec Katel, disant: «Bonjour, monsieur Kobus!» d'une voix si douce, qu'il ne sut que répondre, et resta plus d'une minute comme enraciné au milieu de la salle, regardant vers la porte, tout effaré; puis il se prit
Il approche, en effet, Frantz! répondit la jeune fille en abaissant ses longues paupières. Oui, dit Frantz, dans cinq ou six ans.... Au revoir, Frantz, dit Suzel. Au revoir, Suzel,» répondit Frantz. Et, après que la porte se fut refermée, le jeune homme reprit d'un pas égal et tranquille le chemin de la maison du conseiller Niklausse.
En déjeunant il se représentait d'avance le sentier du Postthâl, la roche des Tourterelles, la côte des Genêts, la ferme; puis l'étonnement de Christel, la joie de Sûzel, et tout cela le réjouissait. Il aurait voulu chanter comme Salomon: «Te voil
Sans doute, Christel, je le regrette aussi.» La petite Sûzel ne dit rien, mais elle paraissait toute triste, et ce soir-l
Hâan! une enfant... une véritable enfant! Allons, Sûzel, viens prendre le café avec nous; Katel, apporte une tasse pour la petite. Oh! monsieur Kobus, je n'oserai jamais! Bah! bah! Katel, dépêche-toi.» Lorsque la vieille servante revint avec une tasse, Sûzel, rouge jusqu'aux oreilles, était assise, toute droite sur le bord de sa chaise, entre Kobus et le vieux rebbe.
Allons, Sûzel, nous partons!» Sûzel se leva tout émue, et Fritz la retenant par le bras, lui fourra le dessert dans les poches de son tablier: les macarons, les amandes, enfin tout. «Oh! monsieur Kobus, faisait-elle de sa petite voix douce, c'est assez. Croque-moi cela, lui disait-il; tu as de belles dents, Sûzel, c'est pour croquer de ces bonnes choses que le Seigneur les a faites.
Ça mordra, Frantz, répondait Suzel de sa voix pure et douce. Mais n'oubliez pas de «ferrer»
En disant cela, il regardait l'autre anabaptiste, qui inclina gravement la tête. «Monsieur Kobus, je vous en prie, ne nous retenez pas, vous auriez réellement tort; n'est-ce pas, Sûzel?» Sûzel ne répondit pas; elle regardait
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