Vietnam or Thailand ? Vote for the TOP Country of the Week !

Mis à jour: 10 juin 2025


[Note 96: Nos dévots protestans imposèrent aux deux Sachems, comme condition, d'observer les dix commandemens, que ces princes des forêts de l'Amérique traitèrent assez cavalièrement. Quand on leur demanda s'ils voulaient adorer Dieu, ils répondirent qu'ils le voulaient bien, parce qu'il fesait plus de bien aux Anglais que ne leur en fesait le leur. Ils dirent qu'ils ne savaient point ce que c'était que de jurer; et que pour le Dimanche, ils pourraient l'observer d'autant plus facilement qu'ils n'avaient jamais beaucoup

Pourrions-nous nous flatter de conserver long-temps comme catholiques romains les mêmes prérogatives que les sujets protestans dans une assemblée de représentans. Ne viendrait-il point un temps la prépondérance de ces derniers influerait contre notre prospérité?

Elle le fut encore par le rétablissement des processions extérieures, que Napoléon, jaloux de tenir une balance exacte entre les Catholiques et les Protestans, avait prohibées, dans les lieux des temples de l'une et de l'autre communion se trouvaient en présence.

Toutes ces maximes du reste étaient et sont encore celles de l'église catholique. Quoique les protestans les répudient ou du moins ne les poussent pas si loin que Rome, ils en profitèrent en Canada, et M. Plessis fut toute sa vie en grande considération parmi eux.

Les profits que rendaient les pelleteries se trouvèrent ainsi en partie absorbés pour le soutien des missions au détriment de Port-Royal. Les protestans et les catholiques, partisans de la politique de Sully, composaient ce qu'il y avait de plus industrieux en France, et étaient par cela-même plus favorables aux améliorations que leurs adversaires, auxquels ils durent cependant céder le pas dans les plantations comme ailleurs, depuis l'avènement de Marie de Médicis aux affaires. L'intérêt du pays fut ainsi sacrifié

Le général Carleton revint en Canada pour reprendre les rênes de son gouvernement dans le mois d'octobre 74. Il inaugura immédiatement la nouvelle constitution, en formant un conseil législatif d'après les dispositions qu'elle contenait. Il le composa de vingt-trois membres, dont deux tiers de protestans et un tiers de catholiques. Plusieurs Canadiens furent élevés aussi aux charges publiques, jusqu'alors remplies exclusivement par des Anglais ou des Suisses, excepté celles de grand-voyer et de secrétaire français, parce qu'il fallait des hommes versés dans la langue et les usages du pays pour les remplir, et que, d'ailleurs, elles étaient presque nominales et donnaient peu de chose. Mais le pays dut s'apercevoir que ce n'était que par politique que l'on faisait partager aux Canadiens quelques-unes des faveurs du gouvernement; que malgré le changement de constitution, ils continueraient d'être exclus des principaux emplois, et que pour le petit nombre de ceux qu'on leur laisserait, l'on aurait soin de choisir des instrument dociles, dont la conduite ferait assez voir

D'ailleurs, ilz sollicitent les particulliers protestans de deç

La ville de Londres n'eut pas plutôt appris la passation de l'acte de 74, qu'elle s'assembla et adopta une adresse au roi pour le prier d'y refuser sa sanction. Elle disait que ce bill renversait les grands principes fondamentaux de la constitution britannique; que les lois françaises ne donnaient aucune sécurité pour les personnes et les biens; que le bill violait la promesse faite par la proclamation de 63, d'établir les lois anglaises; que la religion catholique était idolâtre et sanguinaire, et que Sa Majesté et sa famille avaient été appelées, comme protestans, sur le trône de l'Angleterre pour remplacer les Stuart catholiques; que le pouvoir législatif était placé entre les mains de conseillers amovibles nommés par la couronne, etc. Le lord-maire, accompagné de plusieurs aldermen et de plus de 150 conseillers de la cité, se présenta au palais de St.-James avec son adresse. Le grand chambellan parut et l'informa que le roi ne pouvait prendre connaissance d'un projet de loi passé par les deux chambres avant qu'il eût été soumis

Et encor que je vous aye naguières mandé qu'on m'avoit donné adviz que, au conseil d'Angleterre, cella avoit esté interrompu par le menée des protestans, qui avoient faict résouldre la détention de la Royne d'Escoce par deç

Quant aulx seigneurs, qui sont icy en prison et en arrest, lesquelz se souloient opposer aulx menées des dictz protestans, et les descouvroient et interrompoient assés souvant, iceulx protestans, qui manyent tout, les entretiennent en espérance que leur détention ne sera longue, et que le plus dangereux est desj

Mot du Jour

l'égaierait

D'autres à la Recherche