United States or Bosnia and Herzegovina ? Vote for the TOP Country of the Week !


Le colonel remercia beaucoup M. Georgey de tous ces détails, et lui promit d'en faire usage dans le cours du procès. M. GEORGEY. ferai aussi usage; voulais parler pour Fridric! voulais plaidoyer pour cette povre misérable. LE COLONEL, souriant. Vous? Mais, mon cher, vous ne parlez pas assez couramment notre langue pour plaider? Il aura un avocat.

La fut le povre amant assis Tout seul apart sus une selle Ou moins regart fut lors assis Des ungs et d'autres a merveille Dont y eut a l'assemblee telle Qui sans faire grant mouvement En gratant souvent son oreille Et en plourant mout tendrement

M. GEORGEY. Quoi vous avez, povre Madme Bonarde? Pourquoi vous faisez des pleurements? MADAME BONARD. Ah! Monsieur, j'ai bien du chagrin! Je ne peux plus me contenir. Il faut que je pleure pour me soulager le coeur. M. GEORGEY. Pour quelle chose le coeur

Heelas povre malheureux Tu perdras icy ta jeunesse Et tous les biens adventureux Dont amans viennent a richesse L'ostel est fondé de tristesse Regarde ou tu te veux bouter Se le fais dy adieu leesse Et sy ne t'en pourras oster L'amant

M. GEORGEY. Povre Fridric! J'étais si chagrine, si fâché! savais rien hier. savais tout soir; colonel avait tout raconté

M. GEORGEY. Oh! my goodness! povre Fridric! povre Mme Bonarde! Fridric morte ou déshonorable, c'était même chose... Et Master Bonarde! il avait un frayeur si terrible du déshonoration!... Colonel, vous étais un ami

Certes, c'est povre congnoissance; Mais or voil que tu le congnoisses, Qui tant en as éu d'angoisses, Que tout en est deffigurés. Nus las chetis mal-éurés Ne puet faire emprendre greignor: Bon fait congnoistre son seignor; Et se cestui bien congnoissoies, Légiérement issir porroies De la prison tant empires. L'Amant.

Dutout vous ay m'amour donnée, Vous en povez estre certaine, Ma seule Dame, souveraine, De mon las cueur moult desirée. En songe, etc. Aidez ce povre cayement Souspir, je le vous recommande; De vous, quant ausmone demande, Ne se parte meschantement. Son cas monstre piteusement, Il semble que la mort actende. Aidez ce povre, etc. Souspir, je le, etc.

Apres chault temps, vient vent de bise, Apres hucques, robbes de frise, Le monde de passé revien, A son vouloir joue du sien, Tant entre gens laiz que d'Eglise. Comme j'oy, etc. Clermondois. Qui veult achater de mon dueil? D'en avoir trop, las! je me vante, Car ma povre vie dolante N'en peut plus, non fait pas mon vueil. Partout je voys, mon recueil Est si piteux, et mon actente.

Saige Cassandre, bel Echo, Digne Judith, caste Lucresse, Je vous congnois, noble Dido, A ma seule Dame et maistresse. En priant Dieu, digne Pucelle, Qui vous doint longue et bonne vie, Qui vous ayme, ma Damoiselle, Ja ne coure sur lui envie; Entiere Dame, et assouvie, J'espoir de vous servir aincoys, Certes, se Dieu plaist que devie Vostre povre escolier francoys.