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M. GEORGEY. Oh! my goodness! povre Fridric! povre Mme Bonarde! Fridric morte ou déshonorable, c'était même chose... Et Master Bonarde! il avait un frayeur si terrible du déshonoration!... Colonel, vous étais un ami

«Et puis elle disait j'étais oune cruel, j'avais méchanceté; elle très colère. Moi disais: « Quoi vous avez? J'avais fait exprès. Fridric s'en aller pour guerre, pour boulète, c'était affreux!» «Moi lui dire rien, c'était un tourmentement terrible; elle croire Fridric morte. «Pas du tout. Fridric seulement partir. «Madme Bonarde alors content, parfaitement heureux.

M. GEORGEY. Moi connaissais bien caractère français; c'était généreuse, c'était très grande, c'était très aimable, et d'autres choses. connaissais, savais. Bonsoir gendarme françaiseLes gendarmes partirent en riant. M. Georgey rentra. « restais pour écouter physicien. voulais savoir quelles choses il fallait pour FridricIl s'assit et ne bougea plus.

MADAME BONARD. Mais, en attendant, s'ils se reprennent de querelle? M. GEORGEY. Reprendre rien, du tout rien. il est Fridric? MADAME BONARD. Il bat le blé dans la grange. M. GEORGEY. Très bon, très bon. Je voulais lui vitement. Vous appeler FridricMme Bonard, qui avait réellement confiance en M. Georgey, se dépêcha d'aller chercher Frédéric et l'amena dans la salle.

Toi rester encore bonne créature; Alcide il était parti, toi jamais voir cette coquine, cette malhonnête. C'était bien.» M. Georgey rentra avec Frédéric. M. GEORGEY. Caroline, Fridric prendre logement ici. Lui rester oune semaine. Vous, préparer oune couchaison. CAROLINE. Mais, Monsieur, je n'ai ni chambre ni lit

M. GEORGEY. Fridric, il y avait deux années toi pas heureuse, M. Bonarde pas heureuse, Madme Bonarde pas heureuse. Moi voulais pas. Moi voulais tous heureuse. Toi venir avec moi, toi prendre logement avec moi. Et moi t'arranger très bien. Bonsoir, Madme Bonarde; demain dirai toute mon intention. Viens, Fridric, viens vitement derrière moi

Adieu, mon ami: mille amitiés reconnaissantes pour les services que vous m'avez rendus et que je n'oublierai jamais. «Colonel du 102e chasseurs d'Afrique.» M. GEORGEY. Demain, il fallait partir, Fridric. FR

Le colonel remercia beaucoup M. Georgey de tous ces détails, et lui promit d'en faire usage dans le cours du procès. M. GEORGEY. ferai aussi usage; voulais parler pour Fridric! voulais plaidoyer pour cette povre misérable. LE COLONEL, souriant. Vous? Mais, mon cher, vous ne parlez pas assez couramment notre langue pour plaider? Il aura un avocat.

Couronne baronnet, ça était pour dire: sir Midleway... Je connais; c'était Alcide, ça. Laissez, laissez tous les deux garçons, emmener eux; il était noir, il était moitié la nuit. Goodbye, sir. Venez, Alcide; Fridric, marchez avant moi

avais dormi comme toi, povre pétite Juliène. comprénais, savais. C'était malhonnête, les coquines Alcide, Fridric; ils avaient volé moi et mis une pétite somme dans gilet de toi, pour dire: C'était Juliène le voleur de GeorgeyMme Bonard ne pouvait en croire ses oreilles; elle tremblait de tout son corps.