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Mis à jour: 28 juin 2025
Mme Papofski luttait contre un évanouissement; elle voulut parler, mais a bouche entr'ouverte ne laissait échapper aucun son; elle eut pourtant la pensée confuse que son trouble pouvait être interprété favorablement; cet espoir la ranima, ses forces revinrent; elle s'approcha de sa soeur tremblante: «Pardon, ma soeur, j'ai été si saisie! Le général: avec malice. Et si heureuse!
Le général, avec impatience: Laissez donc, Maria Pétrovna; j'ai entendu mieux que ça en Circassie et en Crimée! Que diable! je n'ai pas les oreilles assez délicates pour tomber en convulsions aux rires et aux cris de joie d'une troupe d'enfants. Madame Papofski: Mais mon cher oncle, on ne s'entend pas ici, vous ne pouvez pas causer.
J'ai hâte de m'en retourner chez moi, Yéfime Vassiliévitche, répondit Mme Papofski en le regardant avec le sourire qu'il réclamait; j'ai été déj
Il était tard, on alla se coucher. Dérigny était un soir près du général; quelques jours s'étaient passés depuis l'arrivée de Mme Papofski, et tout avait marché le plus doucement du monde. Le général se frottait les mains et riait: il méditait certainement une malice. «Dérigny, mon ami, dit-il d'un air joyeux, je vous ai préparé de l'ouvrage.»
Madame Papofski: «Ah! mon oncle! vous êtes méchant!» Le général: «Bonheur énorme! rester un an...» Madame Papofski, vivement: «Vous disiez deux ans?» Le général: «Deux ans, si vous voulez; maîtresse souveraine de Gromiline, avec la chance que je meure, que je crève! Vous n'appelez pas ça un bonheur?» Madame Papofski, faisant des mines: «Mon oncle; vous être trop méchant! Vrai! je vous aime tant!
Et Mme Papofski tomba dans les bras du capitaine ispravnik. L'effort avait été trop violent; elle perdit connaissance. Le capitaine ispravnik la coucha dans sa voiture, fit semblant de la plaindre, de s'inquiéter, et ordonna au cocher de ramener sa maîtresse le plus vite possible, parce qu'elle avait besoin de repos. Le cocher fouetta les chevaux, qui partirent ventre
Madame Papofski, l'embrassant: «Ah! mon oncle! vous êtes si modeste! vous ne connaissez pas la moitié, le quart de vos vertus et de vos qualités!» Le général, froidement: «Probablement, car je ne m'en connais pas. Mais assez de sottises. Expliquez-moi comment vous avez laissé échapper votre voiture, et pourquoi vous vous êtes entassés dans votre fourgon comme une troupe de comédiens.»
Madame Papofski: «Vous me laisseriez... ici..., chez vous... et maîtresse de tout diriger?» Le général: «Tout! Vous ferez ce que vous voudrez; vous dépenserez ce que vous voudrez tout le temps que vous y resterez.» Madame Papofski: «Et combien de temps durera votre absence, mon bon oncle?» Le général: «Un an, mon excellente nièce; quinze mois peut-être.»
Il était impossible de faire partir Mme Papofski dans l'état où elle se trouvait; le prince donna des ordres pour qu'elle et ses enfants ne manquassent de rien; au bout de quelques jours, le mal avait fait des progrès si rapides, que le médecin la déclara
Mme Papofski s'arrêta haletante de colère, laissa tomber le fouet, réfléchit aux moyens de s'affranchir de la défense de son oncle. Après un temps assez considérable passé dans d'inutiles colères et des résolutions impossibles a effectuer, elle se décida
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