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Mis à jour: 28 juin 2025
Madame Papofski: «C'est un Polonais! Je le soupçonnais depuis quelque temps; j'en suis sûre maintenant! Et mon oncle le sait et il le cache. Il est bien heureux de m'avoir laissé le soin de gérer ses affaires en son absence, sans quoi... j'aurais été
Mme Papofski rougit, entra et se trouva en face de Mme Dérigny et des enfants, qui achevaient les derniers embellissements dans la chambre de la nièce du général. Mme Dérigny salua; Jacques et Paul firent leur; petit salut; Mme Papofski leur jeta un regard hautain, fit une légère inclinaison de tête et passa. Le général, mécontent du froid accueil fait
Madame Papofski: «C'est pourtant bien ennuyeux pour moi, Yéfime Vassiliévitche; tous ces dvarovoï sont si impertinents, si mauvais, qu'on ne peut pas s'en faire obéir quand ils se sentent libres.» Le capitaine ispravnik: «Je ne dis pas non, Maria Pétrovna; mais, que voulez-vous, la volonté de votre oncle est l
Elle rougit beaucoup lorsqu'elle vit entrer Mme Papofski; Dérigny fit un mouvement de surprise; Jacques et Paul dirent «Ah!» et tous se levèrent. «Ne vous dérangez pas, ma bonne dame: je serais si désolée de vous déranger! Je viens vous dire combien mes enfants sont fâchés d'avoir fait pleurer, sans le vouloir, votre petit garçon. Je les ai bien grondés; ils ne recommenceront plus.
Les yeux de Mme Papofski s'allumèrent, mais elle se contint et répondit en riant: «N'est-ce pas, mon cher oncle, que c'était ridicule? Vous avez dû rire en nous voyant arriver.»
Madame Papofski, terrifiée: «Au nom de Dieu, ne faites pas une si méchante action, mon cher Yéfime Vassiliévitche. Tout cela n'était pas sérieux.» Le capitaine ispravnik: «C'était sérieux, Maria Pétrovna, dit l'ispravnik avec rudesse, et si sérieux, qu'il vous faudrait me donner plus de cent mille roubles pour me le faire oublier.»
Le mouvement de la voiture, les douleurs qu'elle ressentait et le grand air firent revenir Mme Papofski de son évanouissement. Elle se remit avec peine sur la banquette de laquelle elle avait glissé, et se livra aux plus altières réflexions et aux plus terribles colères jusqu'
Madame Papofski, embarrassée: «Comment, vous êtes l
Le général déchira en mille morceaux la feuille écrite par Mme Papofski, se leva en riant et en se frottant les mains, embrassa sa nièce, sa petite-nièce, ses petits-neveux, et quitta le salon avec Dérigny pour aller se coucher.
Le général: «Parlons d'autre chose, ma nièce; comment se porte votre soeur Natalia Pétrovna?» Madame Papofski: «Très bien, mon oncle; toujours bien.» Le général: «Je la croyais souffrante depuis la mort de son mari.» Madame Papofski: «Du tout, mon oncle; elle est gaie, elle s'amuse, elle danse; elle n'y pense pas seulement.»
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