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Mis à jour: 22 juin 2025
«Natalia Ilinischna, dit Pierre en baissant les yeux, car il se sentait pris d'une profonde pitié pour elle et d'un invincible dégoût pour la mission qui lui était dévolue, vrai ou faux, peu importe, car.... C'est donc faux, il n'est pas marié! Non, c'est vrai, il est marié! Et marié depuis longtemps? Donnez-m'en votre parole d'honneur.» Pierre la lui donna.
Le général: «Pourtant, son voisin M. Nassofkine m'a écrit il y a quelques jours, il me dit qu'elle pleurait sans cesse et qu'elle ne voyait personne.» Madame Papofski: «Non, mon oncle, ne croyez pas ça. Ce Nassofkine ment toujours, vous savez.» Le général: «Et les enfants de Natalia?» Madame Papofski: «Toujours insupportables, détestables.»
Le feltyègre: «Natalia Dmitrievna, je voudrais savoir si on s'arrête ici pour prendre le café et se reposer un instant.» Natasha: «Moi, je ne demande pas mieux: j'ai faim et j'ai les jambes fatiguées; mais mon oncle et maman dorment. Madame Dérigny! ...Ah! voici M. Jackson! Faut-il descendre? Qu'en pensez-vous?»
Natalia Dmitrievna s'est fait mal? demanda le feltyègre, qui approchait. Non..., oui..., je me suis cogné la main; ce ne sera rien.»
Le général: «Parlons d'autre chose, ma nièce; comment se porte votre soeur Natalia Pétrovna?» Madame Papofski: «Très bien, mon oncle; toujours bien.» Le général: «Je la croyais souffrante depuis la mort de son mari.» Madame Papofski: «Du tout, mon oncle; elle est gaie, elle s'amuse, elle danse; elle n'y pense pas seulement.»
Le général: «Bon! C'est pour mon autre nièce, Natalia, qui était bonne et aimante quand je l'ai quittée il y a dix ans, et qui est encore, d'après le mal que m'en a dit Maria Pétrovna, le très rare mais vrai type russe; ses enfants doivent être excellents; je leur ai écrit
Romane: «Monsieur le comte, faut-il s'arrêter ici pour déjeuner? Le feltyègre attend vos ordres. Mlle Natalia a faim et elle a mal aux jambes, ajouta-t-il en souriant.» Le général: «Alors arrêtons, arrêtons! que diantre! Je ne veux pas tuer ma pauvre Natasha. Et puis, ajouta-t-il en riant, moi-même je ne serai pas fâché de manger un morceau et de me dégourdir les jambes. Ouvrez, feltyègre.»
Le général: «Assez, assez, ma pauvre Sonushka: tu as bien répété ta leçon. Parlons d'autre chose. Aimes-tu ta tante Natalia Pétrovna?» Sonushka: «Mon oncle,... pas beaucoup.» Le général: «Pourquoi?» Sonushka: «Parce qu'elle est toujours triste; elle pleure toujours depuis que mon oncle a été tué
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