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Mis à jour: 25 mai 2025
Marie Dmitrievna proposa, le dimanche matin,
«L'épouser?... mais c'est impossible, il est marié! Marié! s'écria Marie Dmitrievna. De mieux en mieux!... Misérable! scélérat! Elle qui l'attend, qui l'espère!... Cette fois du moins elle ne l'attendra plus, je me charge de tout lui dire!»
Marie Dmitrievna Afrassimow fut la seule qui se permît d'exprimer hautement une opinion contraire. Elle était venue cet été-l
On dansait la troisième «anglaise», lorsque le comte et Marie Dmitrievna, qui jouaient au salon, repoussèrent leurs chaises et passèrent dans la salle de bal, suivis de quelques vieux dignitaires qui étiraient leurs membres endoloris
Oui,» répondit-elle après quelques instants de silence. Ses questions furent pleines de sollicitude, et il lui demanda si son abattement n'avait pas pour cause quelque pénible différend survenu entre elle et son fiancé: elle le rassura, et le pria de ne pas s'en préoccuper. Marie Dmitrievna lui confirma ces assurances. Cependant le comte ne fut dupe, ni de la prétendue maladie de sa fille, ni du changement qui s'était opéré en elle, ni du trouble des visages de Marie Dmitrievna et de Sonia: il devina qu'un grave événement avait dû se passer en son absence, mais la crainte d'apprendre qu'il n'était pas
«Laissez-moi, tout m'est égal, je mourrai!...» Et, se dégageant avec une violence sauvage, elle reprit sa première position. «Nathalie, poursuivit Marie Dmitrievna, je te veux du bien; reste couchée, reste ainsi, si cela te plaît: je ne te toucherai pas, mais écoute...: je ne te redirai pas
Si, si! répliqua Marie Dmitrievna. Il faut partir et attendre! Si ton fiancé était ici, une brouille serait inévitable, tandis que, seul avec le vieux, il parviendra
Les deux danseurs s'arrêtèrent, épuisés, hors d'haleine front ruisselant. «Oui, ma chère? c'est bien ainsi que l'on dansait de notre temps, s'écria le comte. Hourra pour Daniel Cooper!» reprit Marie Dmitrievna, en respirant avec peine et en retroussant ses manches.
Marie Dmitrievna et son cavalier étaient de fort belle humeur; ce dernier lui avait offert, comme un véritable danseur de ballet et avec une politesse comique et théâtrale, son poing arrondi, sur lequel elle avait gracieusement posé la main.
Natacha se taisait, non par timidité, comme le supposait peut-être Marie Dmitrievna, mais parce qu'il lui était toujours pénible qu'un tiers se mêlât de ses affaires de coeur. Son amour pour le prince André était chose si
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