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Mis à jour: 25 mai 2025
En arrivant dans la salle, il aperçut Natacha assise près de la fenêtre. Une expression de dureté inusitée était répandue sur ses traits pâles et défaits. Quand elle le vit entrer, elle se leva en fronçant les sourcils, et sortit sans se départir de sa réserve. «Qu'y a-t-il demanda Pierre en entrant chez Marie Dmitrievna.
Marie Dmitrievna aimait et fêtait religieusement le dimanche; chaque samedi, sa maison était lavée du haut en bas; ni elle ni ses domestiques ne travaillaient le jour du Seigneur, et chacun allait entendre la messe. Elle faisait ajouter un plat de plus
Nous parlons de la guerre, s'écria le comte, car savez-vous, Marie Dmitrievna, que j'ai un fils qui part pour l'armée? Et moi, j'en ai quatre
Et, sur ces mots, Marie Dmitrievna, relevant par habitude ses larges manches, la regarda sévèrement et lui tourna le dos. Malgré la crainte qu'inspirait Marie Dmitrievna, on la traitait volontiers de folle: aussi ne resta-t-il de sa mercuriale que l'injure de la fin, qu'on se redisait
La comtesse et tous les convives éclatèrent de rire. On ne riait pas autant de la repartie de Marie Dmitrievna que de la hardiesse et de l'habileté déployées par cette fillette, qui osait ainsi lui tenir tête.
Le feltyègre: «Natalia Dmitrievna, je voudrais savoir si on s'arrête ici pour prendre le café et se reposer un instant.» Natasha: «Moi, je ne demande pas mieux: j'ai faim et j'ai les jambes fatiguées; mais mon oncle et maman dorment. Madame Dérigny! ...Ah! voici M. Jackson! Faut-il descendre? Qu'en pensez-vous?»
Marie Dmitrievna, surnommée «le terrible dragon», n'avait ni titre ni fortune, mais son caractère était franc et ouvert, ses manières simples et naturelles. Elle était connue de la famille impériale; la meilleure société des deux capitales allait chez elle.
On servira une glace, mais tu n'en auras pas,» dit Marie Dmitrievna. Natacha, voyant qu'elle n'avait plus rien
Mais Marie Dmitrievna ouvrit la porte sans lui répondre et entra d'un pas résolu. Sonia la suivit. «C'est laid, c'est mal, se conduire ainsi sous mon toit, mais j'aurai pitié de son père, et je ne dirai rien,» se disait-elle en s'approchant de Natacha, qui était couchée sur le canapé, comme elle l'avait laissée.
«Entrez par ici, dans la cour, autrement on vous verra; elle va venir!» lui dit-elle. Dologhow s'arrêta devant la porte cochère, pendant qu'Anatole, suivant la fille, tournait l'angle de la maison; il venait de franchir les quelques marches du perron, lorsque le grand laquais de Marie Dmitrievna se dressa tout
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