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Mis à jour: 28 juin 2025


Lorsqu'elle se tut, Jacques, surpris et effrayé de ce qu'il venait d'entendre, avança vers la porte, jeta un coup d'oeil dans la chambre, et vit que Mme Papofski était seule. Sa frayeur redoubla, il se retira sans bruit, et, le coeur palpitant, il alla trouver son père et sa mère.

Il retrouva dans le corridor les huit enfants de Mme Papofski, rangés contre le mur. Le général: «Que faites-vous donc l

Madame Papofski: «Du tout, mon oncle, au contraire! Je l'aime tant! Je me souviens si bien comme vous fumiez quand j'étais petite! J'aimais tant ça

Madame Papofski: «Il me semble, mon oncle, que dans son état de souffrance vous séparer d'elle serait lui donner un coup fatal. Elle vous aime tellement que la pensée de vous quitter...» Le général: «Vous croyez? Pourquoi m'aimerait-elle autantMadame Papofski: «Ah! mon oncle! tous ceux qui vous connaissent vous aiment ainsiLe général: «Comment! tous ceux que je quitte meurent de chagrin?

Pendant que Mme Papofski triomphait, le général arrivait chez Mme Dabrovine le visage consterné et décomposé. «Ma fille, mon enfant! elle a deviné que Romane était un Polonais! Qu'il se cache! Elle le perdra! elle le dénoncera, la misérable! Mon pauvre RomaneEt le général raconta ce qu'avait dit Mme Papofski. Madame Dabrovine: «Mon père! pour l'amour de Dieu, calmez-vous!

Mme Papofski s'était animée; elle ne s'était pas aperçue que dans son exaltation elle avait parlé tout haut. Sa porte,

Le capitaine ispravnik était chez lui et ne fut pas surpris de la visite de Mme Papofski, car il connaissait toute l'étendue de ses pouvoirs, la terreur qu'il inspirait, et la soumission que chacun était tenu d'apporter

Mme Papofski, qui était présente avec ses trois aînés pour assister aux exécutions, poussa un cri de rage, se jeta sur le staroste pour arracher et mettre en pièces ce papier maudit; mais le staroste l'avait prestement passé

Mme Papofski restait immobile, regardant de tous côtés, pâlissant de plus en plus. Mme Dabrovine examinait, d'un oeil triste et doux, les détails d'ameublement qui devaient rendre cette pièce si agréable

Madame Papofski: «Je le crois et je le vois, brave, honnête monsieur Dérigny. Ce que j'ai fait et ce que j'ai dit était pour savoir si vous étiez réellement digne de l'attachement de mon oncle. Je ne m'étonne pas de l'empire que vous avez sur lui, et je me recommande

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