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Mis à jour: 28 octobre 2025
Le général: «Merci, bien obligé, je marche tout seul: je ne suis pas encore tombé en enfance; Dérigny ne me met ni lisières ni bourrelet.» Madame Papofski, riant aux éclats: «Ah! mon oncle, comme vous êtes drôle! Vous avez tant d'esprit!» Le général: «Vraiment! c'est drôle ce que j'al dit? Je ne croyais pas avoir tant d'esprit.»
Madame Papofski: «Pardon, mon bon oncle, pardon; je suis si heureuse de vous voir, de vous entendre, que j'oublie tout. Nous étions tous descendus pour nous reposer et marcher un peu, car nous étions dix dans la voiture; j'avais fait descendre Savéli le cocher et Dmitri le postillon. Mon second fils, Yégor, a imaginé de casser une branche dans le bois et de taper les chevaux, qui sont partis ventre
Madame Papofski: «N'écrivez pas, mon oncle: ça vous donnera de la peine pour rien; elle ne viendra pas.» Le général: «Pourquoi ne viendrait-elle pas? Etant jeune, elle m'aimait beaucoup.» Madame Papofski: «Ah! mon oncle, vous croyez cela? Vous êtes trop bon, vraiment.
Un jour, une lettre du prince Négrinski annonça au général la mort de sa nièce Papofski et les pénibles événements qui avaient amené cette fin prématurée. Cette nouvelle impressionna péniblement le général, sa famille et ses amis; mais ce sentiment s'effaça promptement par le bonheur dont ils jouissaient. Leur vie
Le général: «Pourtant, son voisin M. Nassofkine m'a écrit il y a quelques jours, il me dit qu'elle pleurait sans cesse et qu'elle ne voyait personne.» Madame Papofski: «Non, mon oncle, ne croyez pas ça. Ce Nassofkine ment toujours, vous savez.» Le général: «Et les enfants de Natalia?» Madame Papofski: «Toujours insupportables, détestables.»
Chez Mme Dabrovine, où Romane trouva le général, il raconta, encore tout ému, l'apostrophe des petits Papofski; et, lorsque le général et Mme Dabrovine lui dirent qu'il avait tort de s'effrayer de propos d'enfants, son agitation redoubla.
Le général: «Elles étaient trop vraies pour vous paraître amusantes, ce me semble, Maria Pétrovna. Ce que Yégor vous a dit, je le ferais ou je le ferai: cela dépend de vous. Ah! mon oncle, reprit en riant Mme Papofski, qui étouffait de colère et la comprimait avec peine, vous avez cru ce que vous a dit ce niais de Yégor; il est bête, il n'a rien compris de ce que je disais.»
Natasha: «Oui, ma tante; et j'ai eu beau lui dire que c'était très mal de haïr les Polonais comme il le faisait, et d'autres choses, très raisonnables, il n'a rien voulu écouter, et il est parti très en colère. Ah!» dit Mme Papofski. Et, sans ajouter autre chose, elle quitta la chambre, étonnée et désappointée. «Il n'est pas Polonais? pensa-t-telle. Qu'est-il donc?»
Et le général se frottait les mains comme il en avait l'habitude quand il était très satisfait, et il riait aux éclats. Il voulut rester sur le perron pour voir se vider cette arche de Noé. Le fourgon arriva et arrêta devant le perron. Mme Papofski ne voyait pas son oncle; elle poussa
Comme ils sont charmants, vos enfants! Il faut absolument que je les embrasse!» Mme Papofski s'approcha de Jacques et de Paul, qui reculaient et cherchaient
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