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Mis à jour: 15 juin 2025
Il est beaucoup question de littérature dans la quatrième partie. Et voici les pensées qu'on y trouve: Les poètes primitifs aimaient la nature, et elle leur parlait. J'ai fait de la critique quand j'étais enfant, mais j'ai reconnu l'absurdité de cette occupation. La tragédie classique sent le renfermé. De l'air! de l'air! Le bon goût est une grille. Le critique est un eunuque, etc. Shakespeare est sublime. Brumoy est un âne. Le rire est une mitraille. Laharpe, Lebatteux, Patouillet, Rapin, Bouhours, etc., sont des ânes et des pourceaux. La nature fut la nourrice d'Homère et d'Hésiode. Tous les grands hommes et les penseurs sont insultés, Mazzini par Thiers, Washington par Pitt, Juvénal par Nisard, Shakespeare par Planche, Homère par Zoïle, etc..... Les poètes sont les guides du genre humain. Les sommets sont dangereux; on y a le vertige. Les grands hommes sont malheureux, parce qu'ils sont les enclumes sur lesquelles Dieu forge une âme nouvelle
Le 1er juin, les journaux anglais et belges publièrent ce qu'on va lire: «Nous recevons de Joseph Mazzini cet appel
C'est la même censure amère des mœurs florentines qui se retrouve dans le titre primitif que Dante avait écrit de sa main sur son manuscrit, et qui a été retranché de toutes les éditions, hormis de l'édition faite par Mazzini sur le manuscrit d'Ugo Foscolo: LIBRI TITULUS EST: INCIPIT COM
Le 18 janvier 1848, je lus dans le National une longue lettre que m'adressait de Londres, par la voie de ce journal, le plus célèbre représentant des révolutionnaires républicains italiens, M. Joseph Mazzini. Lettre sincère et éloquente, pleine de sentiments élevés qu'évidemment l'auteur croyait tous légitimes et moraux, quoique, au fond et serrés de près, la plupart ne le fussent point; écrite d'ailleurs avec une grande convenance envers moi, et dans le droit d'une polémique sérieuse. Je n'ai garde d'entrer dans la discussion de la politique qu'exprimait cette lettre avec une passion franche, quoique avec plus d'une réticence. J'en reproduis le sens et le résumé dans les termes mêmes de l'auteur: «Il n'existe pas de parti modéré en Italie, me disait M. Mazzini; les quelques hommes que vous avez encouragés, soutenus, ralliés, et que vous voudriez aujourd'hui ériger en parti, ne sont que des individus épars, divisés entre eux, et dépassés depuis longtemps par les nobles et bons instincts populaires. Il existe en Italie une foule d'hommes prêts
Et l'étranger, les maçons italiens de Rome, le cercle Mazzini de Gênes, la colonie française de Londres, la Concordia, association des littérateurs de Vienne, l'association des écrivains et artistes de Buda-Pesth, etc. Les journaux de Londres avaient fait des éditions spéciales; la Pall Mall Gazette donnait, le soir même du 22, un portrait de Victor Hugo.
Cependant, souterrainement, Louis Bonaparte manoeuvrait, ce qui lui avait attiré l'Avertissement qu'on a lu plus haut; il avait mis en mouvement dans la chambre des communes quelqu'un d'inconnu qui porte un nom connu, sir Robert Peel, lequel avait, dans le patois sérieux qu'admet la politique, particulièrement en Angleterre, dénoncé Victor Hugo, Mazzini et Kossuth, et dit de Victor Hugo ceci: «Cet individu a une sorte de querelle personnelle avec le distingué personnage que le peuple français s'est choisi pour souverain.» Individu est,
Après M. de la Rochejaquelein est venu M. Heeckeren, celui qui a tué Pouchkine. C'est un homme athlétique, avec l'accent germanique, l'air bourru mais fin, bonhomme très rusé. Je ne sais s'il avait fait son discours, mais il l'a merveilleusement dit et avec une violence contenue qui a fait impression. Le sens de son discours, en ce qui regarde l'Italie, est que la France et l'empereur ont été constamment dupés par le Piémont. M. de Cavour, le roi Victor-Emmanuel et Garibaldi sont trois têtes dans un bonnet. Il n'est pas même certain que Mazzini ne soit ou n'ait été un agent de ce triumvirat, où chacun avait sa tâche et son rôle. Garibaldi faisant les coups de tête, Victor-Emmanuel les acceptant pour les Italiens, et M. de Cavour les désavouant vis-
Maintenant il est évident que Mazzini a beau jeu. Toutes les boutiques de libraires
Eh bien, dit ce personnage, cela va mal: on se soulève au faubourg Saint-Antoine et dans la quartier du Temple; Caussidière et Mazzini arrivent
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