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Mis à jour: 15 juin 2025


Mais je la connais, ta quatrième Rome, reprit Orlando, qui s'égayait de nouveau. C'est la Rome du peuple, la capitale de la République universelle, que Mazzini a déj

J'espère que Mazzini est sauvé de sa personne. Mais son âme survivra-t-elle

Vous ai-je dit que j'avais reçu une lettre de Salvagnoli très raisonnable et qui me promet que Garibaldi se tiendra ou sera tenu tranquille? C'est, en effet, le plus dangereux ennemi de l'Italie en ce moment, et tout dépend de ce qu'il fera. Je ne sais quelle impression ses discours et ses lettres produisent en Italie. Ici, elles font rire et douter de la cause. Il y a aussi des lettres de Mazzini bien pitoyables,

Pour nous témoigner de la reconnaissance, les gens de Mazzini,

Votre soeur, Revue que Mazzini et Ledru-Rollin venaient de fonder

Il avait connu Mazzini, il en conservait la religiosité vague, le rêve d'un pape républicain, faisant enfin régner la liberté et la fraternité sur la terre. Mais, plus tard, sa passion pour Garibaldi, en troublant cette conception, lui avait fait juger la papauté indigne désormais, incapable de travailler

Ensuite, ce furent encore plus de dix années heureuses, dans Rome conquise, dans Rome adorée, ménagée et flattée, comme une femme en laquelle on a mis tout son espoir. Il attendait d'elle une si grande vigueur nationale, une si merveilleuse résurrection de force et de gloire, pour la jeune nation! L'ancien républicain, l'ancien soldat insurrectionnel qu'il était, avait se rallier et accepter un siège de sénateur: Garibaldi lui-même, son Dieu, n'allait-il pas rendre visite au roi et siéger au parlement? Mazzini seul, dans son intransigeance, n'avait point voulu d'une Italie indépendante et une, qui ne fût pas républicaine. Puis, une autre raison avait décidé Orlando, l'avenir de son fils Luigi, qui venait d'avoir dix-huit ans, au lendemain de l'entrée dans Rome. Si lui s'accommodait des miettes de sa fortune d'autrefois, mangée au service de la patrie, il rêvait de vastes destins pour l'enfant qu'il adorait. Il sentait bien que l'âge héroïque était achevé, il voulait faire de lui un grand politique, un grand administrateur, un homme utile

De ce cri enthousiaste, Orlando n'avait retenu qu'un mot. Il reprit plus bas, d'un air songeur: La république! je l'ai voulue ardemment, dans ma jeunesse. Je me suis battu pour elle, j'ai conspiré avec Mazzini, un saint, un croyant, qui s'est brisé contre l'absolu. Et puis, quoi? il a bien fallu accepter les nécessités pratiques, les plus intransigeants se sont ralliés... Aujourd'hui, la république nous sauverait-elle? En tout cas, elle ne différerait guère de notre monarchie parlementaire: voyez ce qui se passe en France. Alors, pourquoi risquer une révolution qui mettrait le pouvoir aux mains des révolutionnaires extrêmes, des anarchistes? Nous craignons tous cela, c'est ce qui explique notre résignation... Je sais bien que quelques-uns voient le salut dans une fédération républicaine, tous les anciens petits

Cependant il paraît que tous les gens sensés sont unanimes pour croire que l'annexion est le seul moyen de rétablir un peu d'ordre pour le moment. Je trouve qu'il y a de l'habileté dans les ménagements de M. de Cavour pour Garibaldi; mais j'aurais voulu le voir un peu plus énergique au sujet de Mazzini.

Vous doutez-vous de ce qui m'a séduit dans votre livre? car, malgré mes protestations, je vous ai lu deux fois... C'est que Mazzini aurait pu presque l'écrire. Oui! j'y ai retrouvé toute ma jeunesse, tout l'espoir fou de mes vingt-cinq ans, la religion du Christ, la pacification du monde par l'

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