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Mis à jour: 26 mai 2025


Je vous demande des nouvelles de votre santé, de vos occupations, de votre humeur, et que ce soit dans une assez longue lettre, il y ait peu de morale, et beaucoup d'affection pour votre ancien ami. L'on dit ici que le comte de Grammont est mort, ce qui me donne un déplaisir fort sensible. Si vous connoissez Barbin, faites-lui demander pourquoi il imprime tant de choses sous mon nom, qui ne sont point de moi. J'ai assez de mes sottises, sans me charger de celles des autres. On me donne une pièce contre le père Bouhours, je ne pensai jamais. Il n'y a pas d'écrivain que j'estime plus que lui. Notre langue lui doit plus qu'

La réalité est qu'Ursus était savantasse, homme de goût, et vieux poëte latin. Il était docte sous les deux espèces, il hippocralisait et il pindarisait. Il eût concouru en phébus avec Rapin et Vida. Il eût composé d'une façon non moins triomphante que le Père Bouhours des tragédies jésuites. Il résultait de sa familiarité avec les vénérables rhythmes et mètres des anciens qu'il avait des images

Bouhours accuse Tacite de n

Vous épuisez sur moi tout votre calepin, Et le père Bouhours et le père Rapin; Et m'écrasant avec tous les noms qu'on vénère, Vous lâchez le grand mot: Révolutionnaire.

Ronsard en faisait, de son côté, tant de cas, qu'il le lisait constamment et y puisait ses inspirations poétiques. Le Père Bouhours (Entretiens d'Ariste et d'Eugène) n'hésite pas

[Note C: La manière de bien penser dans les ouvrages d'esprit, second dialogue, page 189, édit. 1692. Philanthes est pour le Tasse, et il dit: «De tous les beaux esprits que l'Italie a portés, le Tasse est peut-être celui qui pense le plus noblementMais Bouhours semble parler dans Eudoxe, qui finit par cette absurde comparaison: «Faites valoir le Tasse tant qu'il vous plaira, je m'en tiens pour moi

[Note 532: St. 75. Je connais les réponses que le marquis Orsi, dans son sixième Dialogue, cité ci-dessus, p. 339, note 2, fait aux objections du P. Bouhours sur quelques-uns des traits suivants. Ces réponses ont, du moins

Il est beaucoup question de littérature dans la quatrième partie. Et voici les pensées qu'on y trouve: Les poètes primitifs aimaient la nature, et elle leur parlait. J'ai fait de la critique quand j'étais enfant, mais j'ai reconnu l'absurdité de cette occupation. La tragédie classique sent le renfermé. De l'air! de l'air! Le bon goût est une grille. Le critique est un eunuque, etc. Shakespeare est sublime. Brumoy est un âne. Le rire est une mitraille. Laharpe, Lebatteux, Patouillet, Rapin, Bouhours, etc., sont des ânes et des pourceaux. La nature fut la nourrice d'Homère et d'Hésiode. Tous les grands hommes et les penseurs sont insultés, Mazzini par Thiers, Washington par Pitt, Juvénal par Nisard, Shakespeare par Planche, Homère par Zoïle, etc..... Les poètes sont les guides du genre humain. Les sommets sont dangereux; on y a le vertige. Les grands hommes sont malheureux, parce qu'ils sont les enclumes sur lesquelles Dieu forge une âme nouvelle

Capys, qui s'érige en juge du beau style et qui croit écrire comme Bouhours et Rabutin, résiste

«Alors, le père Bouhours n'avait pas encore tout

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