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Mis à jour: 24 juin 2025
De ce petit camp de Tournoux, où j'ai fait ma première campagne, sont sortis plusieurs généraux distingués. Laharpe, devenu général de division, tué après le passage du Pô, était alors lieutenant-colonel du régiment d'Aquitaine; Saint-Hilaire, tué général de division
«M. de Laharpe était de ce nombre; mais il garda son caractère intolérant, et cette disposition amère qui lui faisait concevoir de nouvelles haines sans abjurer les anciennes. Toutes ces épines de sa dévotion disparaissaient cependant auprès de madame Récamier.» Voici quelques fragments des lettres de M. de Laharpe
Le gouvernement consulaire, qui affectait encore de protéger les idées libérales, persécuta Laharpe pour ses opinions religieuses, et l'exila de Paris. Quelques ans plus tard il lui aurait proposé peut-être d'écrire dans ce sens, pour raffermir la monarchie absolue. On assure pourtant que Laharpe avait refusé une pension que Bonaparte lui avait offerte.
Au milieu de ces glorieuses individualités, M. de Fontanes était une curiosité, moitié politique, moitié littéraire. Après le 18 fructidor, il avait été proscrit avec Suard et Laharpe; mais, parfaitement caché chez un de ses amis, ne sortant que le soir, il avait trouvé moyen de ne pas quitter Paris. Un accident impossible
Il paraît que la réconciliation politique des deux poëtes et rivaux ne tint pas long-temps, et que de nouvelles attaques mutuelles les brouillèrent comme auparavant; mais Laharpe y mit fin par un trait de générosité, ou si l'on veut de justice, en renvoyant, dit-on,
Les deux armées s'ébranlant en même temps, se rencontrèrent en route le 22 germinal (11 avril). Le long de la mer, Beaulieu donna contre l'avant-garde de la division Laharpe, qui avait été portée sur Voltri, pour inquiéter Gênes, et la repoussa. D'Argenteau, avec le centre, traversa le col de Montenotte, pour venir tomber
La vertu toute nue a l'air trop indigent; Et c'est n'en avoir point que n'avoir point d'argent. En 1792, il y eut un pari de cent louis, sur la question de savoir s'il falloit dire: cette soupe a l'air bonne, ou cette soupe a l'air bon, M. de Laharpe fut pris pour juge; et M. Domergue nous apprend que cet Académicien jugea qu'il falloit dire: cette soupe a l'air bonne.
Laharpe assure qu'il n'eut pas lui-même la patience d'attendre la fin de la représentation, qu'il ne garda que des fragmens de son manuscrit, qu'il jeta au feu la pièce de Pharamond, et que s'il eut la faiblesse ou plutôt le besoin de faire imprimer Timoléon, qui avait eu quelques représentations, il ne comprit pas du moins cette tragédie dans la collection de ses oeuvres. Ce qui lui avait paru bon dans la pièce de Timoléon, fut transporté plus tard dans celle de Coriolan. Bientôt après, en 1768, le public apprit que Laharpe avait brusquement quitté Ferney avec sa femme, et qu'il était revenu
Malgré l'accueil froid qu'avaient reçu la plupart des tragédies de Laharpe, il ne craignit pas de les rassembler et de les faire paraître. Dans la préface du premier volume, il prédit la décadence du théâtre, et ne trouve que deux moyens de la prévenir. Ces moyens sont l'érection d'un second théâtre français, et la substitution d'un parterre assis
Le général Laharpe était du canton de Berne: les autorités de ce canton lui ont confisqué ses biens au commencement de la révolution. Je vous prie de vous intéresser pour les faire rendre
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