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Mis à jour: 3 juillet 2025
C'était l'heure où tout luit et murmure plus bas... La fontaine Aréthuse, enclose d'un grillage, Et portant sans orgueil un renom fabuleux, Faisait un bruit léger de pleurs et de feuillage Dans les frais papyrus, élancés et moelleux... Enfin ce fut la nuit, nuit qui toujours étonne Par l'insistante angoisse et la muette ardeur.
Je retrouve le calme et vaste paysage: C'est toujours sur les monts, les routes, les rivages, Vos gais bondissements, chaleur aux pieds d'argent! Le monde luit au sein de l'azur submergeant Comme une pêcherie aux mailles d'une nasse; Je vois, comme autrefois, sur le bord des terrasses, Des jeunes gens; l'un rêve, un autre fume et lit; Un balcon, languissant comme un soir au Chili, Couve d'épais parfums
Ne nous irritons pas. Il n'est pas bon de faire, Vers la clarté qui luit au centre de la sphère, A travers les cieux transparents, Voler l'affront, les cris, le rire et la satire, Et que le chandelier
Hélas! toutes ces chansons ne sont pas claires. Mais ici il faut distinguer. Il y a celles qu'on ne comprend pas parce qu'elles sont obscures, sans que le poète l'ait voulu, et celles qu'on ne comprend pas parce qu'elles sont inintelligibles et qu'il l'a voulu ainsi. Je préfère de beaucoup ces dernières. En voici une: L'espoir luit, comme un brin de paille dans l'étable. Que crains-tu de la guêpe ivre de son vol fou? Vois, le soleil toujours poudroie
Les deux chiens en pleuraient. Les chiens ont-ils une ame? Ce qui les fait penser, est-ce un peu de la flamme Qui me luit: Dieu le sait? ils pleurèrent d'abord, Grincèrent au présent et s'attristèrent fort. Puis, celui qui des deux aimait encore
Ce sont choses crépusculaires. Des visions de fui de nuit. O Vérité, tu les éclaires Seulement d'une aube qui luit Si pâle dans l'ombre abhorrée Qu'on doute encore par instants Si c'est la lune qui les crée Sous l'horreur des rameaux flottants, Ou si ces fantômes moroses Vont tout
Ce mot luit dans les âmes veuves, Il tremble dans la flamme; onde, il coule en tes fleuves, Homme, il coule en ton sang; Les constellations le disent au silence; Et le volcan, mortier de l'infini, le lance Aux astres en passant. Ne doutons pas. Croyons. Emplissons l'étendue De notre confiance, humble, ailée, éperdue. Soyons l'immense Oui.
Elle part, elle se pose, Apparaît dans un éclair Et fuit, dédaignant la rose Pour le lotus froid et clair. À la fois puissante et libre, Soeur du vent, fille du ciel, Son aile frissonne et vibre Comme le luth d'Ariel. Fugitive, transparente, Faite d'azur et de nuit, Elle semble une âme errante Sur l'eau qui dans l'ombre luit.
POINS. Par le jour qui luit sur nous, on parle bien de moi. Je peux entendre de mes deux oreilles ce qu'on en dit. Le pis qu'on puisse dire, c'est que je suis un cadet de famille, et que je suis l'oeuvre de mes mains; et pour ces deux articles-l
D'applaudir la grandeur noire, Les héros, le fer qui luit, Et la guerre, cette gloire Qu'on fait avec de la nuit; D'admirer les coups d'épée, Et la fortune, ce char Dont une roue est Pompée, Dont l'autre roue est César; Et Pharsale et Trasimène, Et tout ce que les Nérons Font voler de cendre humaine Dans le souffle des clairons!
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