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Mis à jour: 3 juillet 2025
L'une d'elles fredonnait une chanson d'un rhythme étrange, dont les premiers vers peuvent se traduire ainsi: Le corail luit sur ma peau brune, L'épingle d'or
Et il se dirigea vers la demeure du comte de La Fère. Chapitre XXXVII Comment d'Artagnan régla le passif de la société avant d'établir son actif «Décidément, se dit d'Artagnan, je suis en veine. Cette étoile qui luit une fois dans la vie de tout homme, qui a lui pour Job et pour Irus, le plus malheureux des Juifs et le plus pauvre des Grecs, vient enfin de luire pour moi.
À sept ans, il faisait des romans sur la vie Du grand désert, où luit la Liberté ravie, Forêts, soleils, rives, savanes! Il s'aidait De journaux illustrés où, rouge, il regardait Des Espagnoles rire et des Italiennes. Quand venait, l'oeil brun, folle, en robes d'indiennes, Huit ans, la fille des ouvriers d'
L'espoir luit comme un brin de paille dans l'étable, dont l'amertume n'est que du désir ranci, l'homme enfin qui voudrait vivre et que l'égoïsme des élus rejette éternellement dans les ténèbres extérieures.
Autour de lui tout marche et vit, tout rit, tout aime; La fleur luit, l'oiseau chante en son palais d'été, Tandis que le mourant en qui décroît la flamme, Frémit sous ce grand ciel, précipice de l'âme, Abîme effrayant d'ombre et de tranquillité!
Puis: Repassons nos jours, si tu l'oses... Puis: Hélas! partout où tu repasses, C'est le deuil, le vide ou la mort... Et enfin: Levons les yeux vers la colline Où luit l'étoile du matin... Il me semble que ces strophes s'élancent ou plutôt se détachent comme d'un coup d'aile blanche, presque silencieux.
Un visage est sacré quand il s'épuise et meurt Comme un sol que l'été dévaste, Sur qui les lourds pigeons et les ombres des fleurs Font des taches sombres et vastes. Un destin est sacré quand il a contre lui Toute une foule qui s'élance, Et que, sous cet affront, il s'enivre, et qu'il luit Comme l'olivier et la lance!
Toi debout sur le quai, moi debout sur le pont, Vibrant comme deux luths dont la voix se répond, Aussi longtemps qu'on put se voir, nous regardâmes L'un vers l'autre, faisant comme un échange d'âmes; Et le vaisseau fuyait, et la terre décrut; L'horizon entre nous monta, tout disparut; Une brume couvrit l'onde incommensurable; Tu rentras dans ton oeuvre éclatante, innombrable, Multiple, éblouissante, heureuse, où le jour luit: Et, moi, dans l'unité sinistre de la nuit.
Mes chants dans mon âme allumés! Vivez pour la nature, et le ciel, et moi-même! Après avoir souffert, aimez! Laissez entrer en vous, après nos deuils funèbres, L'aube, fille des nuits, l'amour, fils des douleurs, Tout ce qui luit dans les ténèbres, Tout ce qui sourit dans les pleurs! Octobre 18...
... La nature pour moi est ennemie. La campagne me semble mortuaire. Cette terre verte me paraît un grand cimetière qui attend. Cette herbe paît l'homme. Ces plantes poussent et verdissent de ce qui meurt. Ce soleil qui luit, si riant, si clair, est le grand pourrisseur. Arbres, ciel, eau, tout cela me fait l'effet d'une concession
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