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Mis à jour: 9 juillet 2025
Leicester est mis en prison et condamné
Un courtisan nommé Norfolk, jaloux du haut degré de faveur où le sentiment de la reine a placé Leicester, révèle
Enfin Leicester paraît, mais les otages écossais s'avancent en même temps que lui. L'œil furieux d'
Or voici venir, au milieu de cette stérilité pseudo-classique, des créatures vivantes, des êtres de chair et de sang. Leurs physionomies sont précises et leurs traits individuels. Impossible de les confondre, et de les oublier. Au moindre appel de la volonté, ils apparaîtront tels qu'on les a vus tout d'abord, avec leurs marques particulières, leurs grimaces ou leurs sourires, leurs tics ou leurs manies. Non qu'ils s'imposent et vous hantent avec l'obsession des personnages de Balzac; mais leur première qualité est bien de vivre. Et ils vivent, en effet, tous tant qu'ils sont, depuis les plus illustres jusqu'aux plus obscurs, rois et valets, duchesses et fermières, les esclaves aussi bien que les maîtres, Gurth et Wamba comme Cédric, Ivanhoe ou Richard, l'ignoble Tony Foster et l'insouciant et débraillé Michel Lambourne, tout autant que le séduisant Leicester ou sa «gracieuse souveraine»
Aujourd'hui, de sang-froid, j'y blâmerais l'emploi de deux ténors pour les rôles de Norfolk et de Leicester. Rossini aurait répondu
Procédure criminelle contre le duc de Norfolk, les comtes d'Arundel et de Pembroke, et lord Lumley. Arrestation de sir Trokmorton et du sieur Ridolfy. Commissaires établis pour conduire le procès. Le comte de Leicester refuse de prendre part
Quelques instants après, j'étais confortablement installé dans un restaurant de Leicester Square, et pour la première fois depuis la nuit de Noël, je pouvais enfin dîner tranquille.
La scène superbe dans laquelle mademoiselle Colbrand était si grande tragédienne, se termine par un duetto entre la reine et Mathilde, Pensa che sol per poco Sospendo l'ira mia, qui se change bientôt en terzetto, par l'arrivée de Leicester.
D'une part, l'Angleterre, gouvernée par des Poitevins, par des Français du Midi, s'affranchit d'eux par le secours d'un Français du Nord, Simon de Monfort, comte de Leicester, second fils du fameux Montfort, chef de la croisade des Albigeois.
La guerre fut menée avec vigueur et unité du côté des croisés, avec mollesse, et avec peu d'entente du côté des seigneurs méridionaux. Simon de Montfort, comte de Leicester, ravagea le Languedoc sans trêve ni cesse; les principales forteresses tombèrent en son pouvoir et s'il éprouva quelques légers échecs, ils furent vite réparés. Les excès furent innombrables. L'historien officiel de la croisade, le moine de Vaux-Cernay, s'exprime en ces termes: «C'est avec une allégresse extrême que nos pèlerins brûlèrent encore une grande quantité d'hérétiques»; l'historien moderne auquel nous empruntons cette citation, M. Luchaire, dit
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