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Mis à jour: 31 mai 2025
Sire, dit-elle, sous le règne du calife Haroun-al-Raschid, il y avait
Lorsque je fus de retour dans la ville, je suppliai le roi de me permettre de retourner en mon pays; ce qu'il m'accorda d'une manière très-obligeante et très-honorable. Il me força de recevoir un riche présent, qu'il fit tirer de son trésor; et lorsque j'allai prendre congé de lui, il me chargea d'un autre présent bien plus considérable, et en même temps d'une lettre pour le Commandeur des croyants, notre souverain seigneur, en me disant: Je vous prie de présenter de ma part ce régal et cette lettre au calife Haroun-al-Raschid, et de l'assurer de mon amitié. Je pris le présent et la lettre avec respect, en promettant
J'en allai acheter hier, et les fis apporter par un porteur, homme d'esprit et d'humeur agréable, que nous retînmes pour nous divertir. Votre Majesté sait le reste. Le calife Haroun-al-Raschid fut très-content d'avoir appris ce qu'il voulait savoir, et témoigna publiquement l'admiration que lui causait tout ce qu'il venait d'entendre.
Sire, sous le règne de ce même calife Haroun-al-Raschid, dont je viens de parler, il y avait
Un pauvre cordier est le héros d'un conte très long des Mille et une Nuits, dont voici le résumé: Le calife Haroun-al-Raschid ayant remarqué dans une des promenades qu'il faisait, déguisé en marchand étranger, un bel hôtel tout neuf, interroge un voisin qui lui dit que cette maison appartient
Haroun-al-Raschid régna peu de temps après. Sa renommée a rempli le monde. Son amour pour les lettres, et pour ceux qui les cultivent, était si grand, que, selon le témoignage de l'historien Elmacin, il ne se mettait jamais en voyage, sans emmener avec lui un grand nombre de savants. Il appela auprès de lui tous ceux qu'il put découvrir, et les combla de bienfaits. La poésie fit ses délices; on le vit plus d'une fois verser des larmes d'attendrissement en lisant de beaux vers, et ce qui fit faire
Mais, monsieur, reprit la jeune femme, ces sociétés orientales au milieu desquelles vous avez passé une partie de votre existence sont donc fantastiques comme les contes qui nous viennent de leur beau pays? un homme y peut donc être supprimé impunément? c'est donc en réalité la Bagdad ou la Bassora de M. Galland? Les sultans et les vizirs qui régissent ces sociétés, et qui constituent ce qu'on appelle en France le gouvernement, sont donc sérieusement des Haroun-al-Raschid et des Giaffar qui non seulement pardonnent
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