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Mis à jour: 12 juin 2025


Paris, Verdière, s. d., 3 vol. in-8º, v. é. GALLAND, les Mille et une nuits, contes arabes. Paris, Galliot, 1822, 6 vol. in-8º, mar. viol., gauf., dos ornés, tr. dor. Gravures sur chine, avant la lettre. Reliures romantiques.

Mais, monsieur, reprit la jeune femme, ces sociétés orientales au milieu desquelles vous avez passé une partie de votre existence sont donc fantastiques comme les contes qui nous viennent de leur beau pays? un homme y peut donc être supprimé impunément? c'est donc en réalité la Bagdad ou la Bassora de M. Galland? Les sultans et les vizirs qui régissent ces sociétés, et qui constituent ce qu'on appelle en France le gouvernement, sont donc sérieusement des Haroun-al-Raschid et des Giaffar qui non seulement pardonnent

En ce qui concerne les parties rythmées, et chantées je les ai transcrites textuellement. J'étais d'abord assez sceptique sur la réalité de leur existence et les ai tenues longtemps pour une fantaisie de traducteurs qui auraient voulu imiter la forme des contes de Perrault ou de Mme d'Aulnoy. Je le croyais d'autant plus que dans aucun des récits recueillis par moi, au Sénégal et en Guinée, je n'en avais trouvé la moindre trace et que les contes des Mille et une Nuits n'en présentaient point d'exemple dans la traduction, d'ailleurs médiocrement fidèle, de Galland. Depuis mon arrivée au Haut-Senégal-Niger, j'ai eu au contraire maintes fois l'occasion d'en entendre chanter et une traduction des contes inédits des Mille et une Nuits, lue depuis cette époque, m'a convaincu que dans toutes les littératures merveilleuses le petit couplet est une partie essentielle du conte. C'est en souvenir de ce démenti donné

Le Journal inédit de Galland, publié dans la Nouvelle Revue encyclopédique (Firmin Didot, février 1847), rapporte de nouveaux détails sur la frénésie de M. de Ferriol, notamment cette particularité inimaginable: «Lundi, 6 octobre . J'avois oublié de marquer le jour ci-devant, écrit le consciencieux Galland, ce que j'avois appris de M. Brue, qui est que M. de Ferriol, ambassadeur

Pour les contes d'origine indo-européenne: Contes des Bretons armoricains, par Luzel. Bibliothèque populaire Gauthier-Villars. Barsaz-Breiz, par H. de la Villetnarqué. Franck éditeur, 1846. Contes de Grimm. Philipp RECLAM, Leipzig. La Bretagne, par Pitre-Chevalier. W. Coquebert éditeur. Contes des 1001 Nuits, traduits par Galland.

Cette version est littérale, et c'est tout autre chose que les Mille et une Nuits de notre vieux Galland. Je venais te voir... dit Jumage, te parler... Mais ça n'a aucune importance... Alors tu lisais les Mille et une Nuits?... Je les lisais, répondit M. Bergeret. Je les lisais pour la première fois. Car l'honnête Galland n'en donne pas l'idée.

Le rusé Dousterswivel de Sir Walter Scott cherchait ses trésors dans les ruines des monastères; mais notre héros avait des idées toutes différentes: c'était sur les rives des lacs, dans les cavernes les plus sombres et au fond de la mer, se portaient toutes ses espérances. Sans avoir lu les ouvrages de M. Galland et de M. Petit de Lacroix, son imagination transformait en palais de porphyre,

On raffolait des moeurs d'Asie, de Chardin, de Galland, des Mille et une Nuits. On savait

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