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Un instant après, j'étais aux genoux du Pape. Ayant baisé sa mule, il me présenta la main. Alors, levant vers lui mes yeux baignés de larmes, je le suppliai en ces termes: «Très Saint Père, j'ai une grande grâce

Bonnes ou mauvaises, ce n'était point un emploi convenable pour moi, j'allai trouver le Roi et je le suppliai de donner

"Avant de me séparer du comte, je le suppliai de me donner son portrait tel qu'il était lorsqu'il vint

Dès le commencement du combat, nous présagions que l'issue en serait funeste. J'étais logée chez une madame T *, qui était fort riche, fort bien élevée et très-républicaine: elle avait sept petits enfans qu'elle aimait beaucoup et qu'elle soignait avec tendresse. Je résolus de lui confier ma fille: c'était son admirable belle-soeur qui avait recueilli la petite Jagault. M. T *, fort honnête homme, était absent. Je la suppliai de s'en charger, de l'élever comme une pauvre petite paysanne, de lui donner seulement des sentimens d'honneur et de vertus. Je lui dis que si elle était destinée

La pauvre jeune fille était bien malheureuse. Son refus de se marier avait tellement irrité le comte qu'il supportait difficilement sa présence; il lui reprochait sa désobéissance avec amertume et s'étendait sur l'ingratitude des enfants. Parfois même des crises violentes suivaient les visites d'Odile. Les choses en vinrent au point que je me crus forcé d'intervenir. J'attendis un soir la comtesse dans l'antichambre, et je la suppliai de renoncer

Lorsque je fus de retour dans la ville, je suppliai le roi de me permettre de retourner en mon pays; ce qu'il m'accorda d'une manière très-obligeante et très-honorable. Il me força de recevoir un riche présent, qu'il fit tirer de son trésor; et lorsque j'allai prendre congé de lui, il me chargea d'un autre présent bien plus considérable, et en même temps d'une lettre pour le Commandeur des croyants, notre souverain seigneur, en me disant: Je vous prie de présenter de ma part ce régal et cette lettre au calife Haroun-al-Raschid, et de l'assurer de mon amitié. Je pris le présent et la lettre avec respect, en promettant

J'eus peur, et suppliai Ivan Ignatiitch de ne rien dire au commandant. Je parvins

«Je le suppliai de me permettre de me retirer au Sacré-Coeur, j'avais quelques amies: j'y resterais jusqu'au moment il jugerait

Malgré cette compétence plus particulière en matière cérébrale et nerveuse, comme je savais que du Boulbon était un grand médecin, un homme supérieur, d'une intelligence inventive et profonde, je suppliai ma mère de le faire venir, et l'espoir que, par une vue juste du mal, il le guérirait peut-être, finit par l'emporter sur la crainte que nous avions, si nous appelions un consultant, d'effrayer ma grand'mère. Ce qui décida ma mère fut que, inconsciemment encouragée par Cottard, ma grand'mère ne sortait plus, ne se levait guère. Elle avait beau nous répondre par la lettre de Mme de Sévigné sur Mme de la Fayette: «On disait qu'elle était folle de ne vouloir point sortir. Je disais

Appelez les choses du nom que vous voudrez», lui dis-je, et je la suppliai de changer de conversation. Changer de conversation n'était pas possible; il fallait revenir au point de départ ou continuer. Elle crut plus sûr apparemment de parler raison. Je la laissai dire, et ne répondis plus que par la formule absolue du découragement total: A quoi bon?