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Mis à jour: 5 juin 2025


Je le suppliai de laisser passer cette crise de défaillance, qui ne durerait pas, lui disais-je; et qui résultait de longues fatigues. Je lui promis d'ailleurs de changer de conduite. Nous avions le même monde, j'avais le plus grand tort de n'y jamais aller. Il était de mon devoir de m'y faire connaître et de ne pas me singulariser par un éloignement systématique.

L'eau montait; les voix rauques de la Durance nous appelaient avec colère. Alors, j'éclatai en sanglots, je pris Babet entre mes bras frémissants, je suppliai Jacques de venir près de nous. Je voulais que nous mourions tous dans une même étreinte. Jacques s'était remis

Leurs larmes m'attendrirent. Je les suppliai de me dire le sujet de leur affliction et de cette séparation dont elles me parlaient. Au nom de Dieu, mes belles dames, ajoutai-je, apprenez-moi s'il est en mon pouvoir de vous consoler, ou si mon secours vous est inutile. Au lieu de me répondre précisément: Plût

Je désirais terminer cette scène et renvoyer Alezia chez sa tante. Je la suppliai de ne pas s'exposer davantage, et je me levai pour faire avancer son cheval; mais elle me retint en me disant avec force: «A quoi songez-vous, Lélio? Renvoyez chevaux et domestique chez ma tante; demandez la poste, et partons sur-le-champ. Votre amie sera assez bonne pour nous accompagner. Nous irons trouver ma mère, et je me jetterai

»Je ne vous dirai point ce que je souffris quand j'appris le malheur arrivé mon père! Je suppliai Roger de me rendre ma liberté, il ne le voulut point; mais il me promit d'adoucir mes regrets, en adoucissant mon sort, et sur-tout en me laissant maître de mes actions. Il tint parole. Roger, dans ce temps l

Elle répliqua par une phrase dont il me fut impossible de saisir le sens, et, comme je la voyais retomber dans son agitation douloureuse, je la suppliai de me laisser l'interroger et qu'elle me répondît par des gestes. Après quelques minutes, j'étais parvenu, de tâtonnements en tâtonnements,

La reine vint me trouver. Mdme. de Sonsfeld me seconda si bien, que nous lui persuadâmes, qu'elle avoit été informée de ce que j'avois fait dire au roi. Elle s'acquitta, en versant un torrent de larmes, des commissions qu'il lui avoit données pour moi, me recommandant très-fortement, de garder le secret sur ce qui regardoit la cassette, et d'en rester toujours sur la négative. Nous prîmes ensuite un tendre congé; elle me serra long-temps entre ses bras. Je la suppliai de se tranquilliser, l'assurant, que j'étois entièrement résignée

Lorsque Mme Fairfax m'eut souhaité un bonsoir amical, je fermai ma porte et je regardai tout autour de moi. Bientôt l'impression produite par cette grande salle vide, ce spacieux escalier et ce long et froid corridor, fut effacée devant l'aspect plus vivant de ma petite chambre. Je me rappelai qu'après une journée de fatigues pour mon corps et d'anxiétés pour mon esprit, j'étais enfin en sûreté. Le coeur gonflé de reconnaissance, je m'agenouillai devant mon lit et je remerciai Dieu de ce qu'il m'avait donné, puis je lui demandai de me rendre digne de la bonté qu'on me témoignait si généreusement avant même que je l'eusse méritée. Enfin je le suppliai de m'accorder son aide pour la tâche que j'allais avoir

Je la calmai en lui racontant tout ce que j'avais appris le jour précédent. Je la suppliai de bien vouloir m'expliquer ces choses, puisque ses soupirs, ses mouvements et l'étrange fatigue qui l'avait immobilisée m'avaient révélé qu'elle était initiée. Je lui cachai cependant que je l'avais surprise, elle aussi, et que je savais

Elle éclata en sanglots. J'attendis que la crise fut calmée, puis la suppliai de parler.

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