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Mis à jour: 5 juin 2025


Cette lettre si poignante et tout admirable est la dernière que je reçus; elle m'alarma par le redoublement de tristesse dont elle est empreinte. Je courus aux Dames Saint-Michel; ma soeur se promenait dans le jardin avec madame de Navarre; elle rentra quand on lui fit savoir que j'étais monté chez elle. Elle faisait visiblement des efforts pour rappeler ses idées et elle avait, par intervalles, un léger mouvement convulsif dans les lèvres. Je la suppliai de revenir

«Je ne me trompai pas dans ma conjecture: l'année se passa avant que j'entendisse parler du jeune homme. Au bout de l'an il parut aussi richement vêtu que la dernière fois, mais il me semblait avoir quelque chose dans l'esprit. Je le suppliai de me faire l'honneur d'entrer chez moi. «Je le veux bien pour cette fois, me répondit-il, mais

Follement, stupidement, je suppliai: Laissez-moi la revoir! Vous n'y pensez pas! dit Mme Vitellier qui, ayant essuyé ses larmes, avait repris sa dignité. Une fois, une seule fois! tout de suite... tantôt! Je me traînais

L'inquiétude que me causait Brignolles était, sans doute, ridicule, et les accidents ne se reproduisirent plus. Tout de même, j'étais si extraordinairement prévenu contre lui que, dans le fond de moi-même, je ne lui pardonnai pas que la santé de M. Darzac ne s'améliorât point. Au commencement de l'hiver, il toussa, si bien que je le suppliai, et que nous le suppliâmes tous, de demander un congé et de s'aller reposer dans le midi. Les docteurs lui conseillèrent San Remo. Il y fut et, huit jours après, il nous écrivait qu'il se sentait beaucoup mieux; il lui semblait qu'on lui avait, depuis qu'il était arrivé dans ce pays, enlevé un poids de dessus la poitrine!... «Je respire!... je respire!... nous disait-il. Quand je suis parti de Paris, j'étouffaisCette lettre de M. Darzac me donna beaucoup

Or, de Guiche est têtu comme un amoureux; il n'écouta donc aucune de mes remontrances. Je le priai, je le suppliai, il ne voulut rien entendre

Je le suppliai d'aller vers mon maître, lui disant qu'il soupirait après sa venue, et que les douleurs de son âme étaient dignes de pitié. Je m'éveillais alors et me mettais sur mon séant; car j'avais l'esprit frappé de ce rêve, et j'avais besoin d'ouvrir les yeux et d'étendre les bras pour me convaincre que c'était un fantôme créé par le sommeil. Par trois fois ce jeune homme m'apparut dans toute sa douceur et dans toute sa beauté. Sa voix résonnait

Je le suppliai de ne point se fâcher, mais il l

Lorsque la voiture s'arrêta devant la porte, le cœur me manqua. Je suppliai Gontran de remettre au moins cette visite, il me répondit par un geste d'impatience. Je vis quelques voitures dans la cour de l'hôtel, je fus presque contente; il me semblait qu'une première entrevue avec ma tante me serait ainsi moins pénible.

«J'avais prié mes créanciers, poursuivit le marchand, de vouloir bien attendre huit jours pour recevoir leur paiement. La huitaine échue, ils ne manquèrent pas de me presser de les satisfaire. Je les suppliai de m'accorder le même délai. Ils y consentirent; mais dès le lendemain je vis arriver la dame montée sur sa mule avec la même suite et

Luigi repoussa le vin et le pain qu'on lui offrait, et fit un mouvement pour délier la corde qui retenait ses jambes; un des hommes lui appuya un pistolet sur la poitrine. Encore un mouvement pareil, lui dit-il, et tu es mort. Je suppliai Luigi de ne faire aucune résistance. On nous présenta de nouveau du pain et du vin. Je n'ai pas faim, je n'ai pas soif, dit Luigi. Ni moi non plus, ajoutai-je.

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