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Mis à jour: 31 mai 2025


Sur un autre point encore, la peine des professeurs du Lycée n'a pas été perdue. La connaissance de la langue, de la littérature de deux nations étrangères, l'Angleterre et l'Italie, était sans contestation beaucoup plus répandue alors qu'aujourd'hui dans le grand monde. Nous avons aujourd'hui plus de savants versés dans ces connaissances, plus de critiques capables d'apprécier justement les écrivains étrangers; nous envoyons plus d'habiles explorateurs dans les archives de Londres et de Rome. Mais la haute société compte infiniment moins de personnes capables de lire dans le texte les poèmes, les romans des deux nations, de saisir les allusions qui s'y rapportent. Au temps dont nous parlons, elle comprenait mal Shakespeare, mais Fielding, Richardson, Robertson trouvaient encore plus de lecteurs parmi ses membres que n'en ont eu plus tard Dickens et Macaulay. Quant

B., 30 novembre 1807. J'ai aussi lu, et je regrette aujourd'hui plus de quatre mille romans, y compris les œuvres de Cervantes, Fielding, Smollet, Richardson, Mackenzie, Sterne, Rabelais, Rousseau, etc., etc. Le livre,

Quand est-ce qu'on le mène devant sir John Fielding? demanda le premier interlocuteur.

Malgré ces critiques, peut-être sévères, le nouvel ouvrage de M. Jesse obtiendra, nous n'en doutons pas, le même succès que les Mémoires de la Cour d'Angleterre sous le règne des Stuarts, car il contient des biographies bien écrites et remplies de faits nouveaux, de Malborongh, de Bolingbroke, de Walpole, de Harley, du duc de Sommerset, et des beaux célèbres de cette époque. Fielding et Wilson.

Nos plus grands romanciers, tels que Fielding, Scott et Thackeray se préoccupent fort peu de la philosophie de leur siècle. Mais, venant d'un critique français, cette assertion semble déceler une étrange méconnaissance d'un des éléments les plus importants de la fiction française.

Venise, 20 janvier 1819. «Lorsque j'ai consulté l'opinion de M. H * et d'autres, c'était relativement au mérite poétique, et non sur ce qu'ils croient devoir au jargon hypocrite d'un tems on lit encore le Guide de Bath, les poèmes de Little, Prior et Chaucer, sans parler de Fielding et de Smolett.

Elle lisait avec miss Rose de délicieux ouvrages anglais et français, au nombre desquels on peut citer ceux du savant docteur Smollett, de l'ingénieux M. Henry Fielding, du gracieux et fantastique M. Crébillon le fils, tant admiré de notre immortel Gray, enfin de l'encyclopédique M. de Voltaire. M. Crawley demanda un jour quel ouvrage elles lisaient alors: «Smollett, répondit l'institutrice. Oh!

Cette observation, assez neuve en France, n'avait point échappé au moraliste anglais Fielding, et il l'a développée en peignant, dans son roman de Paméla, la manière diverse dont deux couples mariés finissent leur journée. Le premier est un lord, l'aîné, et par conséquent le possesseur de tous les biens de la famille.

En prononçant ces paroles, elle avait quitté les mains de May Fielding pour s'attacher

La galerie des femmes est aussi nombreuse et aussi variée. Naturellement, il y a de jolies filles et de très jolies; elles sont au premier rang, aimables, rieuses, gaies, de bonne humeur et de bonne santé, comme il semble qu'il les préférait. Mais, il y a aussi de vieilles dames maternelles, excellentes, judicieuses, joyeuses et aimables, de vieilles filles suries, laides et médisantes, des femmes intellectuelles, des femmes de toutes nuances et que vraiment on croit avoir vues. Voici Mrs Brydone, «une femme très élégante de personne et de manières, les tons de sa voix remarquablement doux ». Voici Mrs Burnside une femme distinguée «simplicité, élégance, bon sens, douceur de caractère, bonne humeur, aimable hospitalité sont les constituants de ses manières et de son coeur ». Il y a la bonne ménagère, Mrs Miller, «une agréable, raisonnable et modeste bonne personne, aussi utile mais pas aussi ornementale que Miss Western de Fielding, pas rapidement polie

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