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Mis à jour: 22 juin 2025


Il y règne une douce, tendre sentimentalité, qui lui fut toujours antipathique, par la suite, et qu'il proscrivit de ses autres romans. Nous la reconnaissons, nous reconnaissons cet humour et ces larmes; ils viennent de Dickens. Parmi ses lectures favorites, entre quatorze et vingt et un ans, Tolstoï indique dans son Journal: «Dickens: David Copperfield.

Venez, madame, dit l'architecte, en emmenant Berthe. Vous, Lisa, attendez un instant. Dans la chambre, Rose s'élargissait encore, au milieu du grand lit. Elle y trônait, avec son luxe de reine, sa tranquille sérénité d'idole. Et elle était très attendrie par sa lecture, elle avait posé sur elle Dickens, que sa poitrine soulevait d'un tiède battement.

Avec l'exemple de Dickens, des de Goncourt, des romanciers russes, par-dessus tout de Balzac, le double tempérament de M. Zola montre qu'il n'existe pas plus d'écrivains purement réalistes qu'il n'y a d'absolus idéalistes. PAR

Nicholson a été rédacteur de quatre grands journaux; il a donné des articles au Times; il est l'auteur de Dombay et sa fille, roman dans la manière de Dickens. Après le succès de Gavarni in London, il a publié un journal périodique, sorte de Tintamarre anglais, intitulé Don Giovanni in London. Une chose que l'on ne sait guère, même en Angleterre, c'est que peu s'en est fallu que Nicholson ne fondât le Punch. Ce fut dans la chambre de Nicholson, alors prisonnier pour dettes, que fut discutée et résolue la venue au monde du drôlatique journal. M. A. Henning avait apporté le Charivari de Paris. Les questions matérielles du Charivari de Londres réglées, le bureau du journal fut ainsi composé: M. Nicholson, rédacteur; M. Landell, graveur; M. Last, imprimeur. Mais Nicholson ne put sortir de prison aussi vite qu'il le désirait, et MM. Last et Landell, privés du concours de Nicholson, appelèrent

Un Français, qui fit le voyage de Londres, alla voir un jour le grand Charles Dickens. Il fut reçu et s'excusa sur son admiration de venir ainsi prendre quelques minutes d'une existence si précieuse.

Joseph est un peintre, un réaliste par excellence; c'est aussi un impressionniste. Tout en mettant en lumière les ombres et les clartés de ce milieu, on sent que ce n'est pas de l'art pur qu'il fait. Comme Auerbach, comme Dickens, il est raisonneur, il est didactique; en véritable fils du ghetto, il est prédicateur et moraliste. Il en abuse même. On sent vivement qu'en écrivant son roman, l'auteur ne restait pas indifférent, que son cœur vibrait ému des sentiments les plus opposés: de pitié et de compassion, de dédain, de colère et d'amour

Nous nous trouvons donc devant une conséquence de l'état social, qu'il serait trop long d'étudier. Remarquez que la convention dans les personnages et dans les idées est d'autant plus singulière que le public anglais exige le naturalisme dans le monde extérieur. Il n'y a pas de naturaliste plus minutieux ni plus exact que Dickens, lorsqu'il décrit et qu'il met en scène un personnage; il refuse simplement d'aller au del

C'est commode de juger ainsi; tu fais comme ce personnage de Dickens, qui jetait de la main gauche par-dessus l'épaule droite toutes les questions embarrassantes. Mais nier un fait n'est pas y répondre. Que faire? dis-moi, que faire? Ne pas voler de pain fraisStépane Arcadiévitch se mit

Plusieurs de nos lecteurs peuvent se rappeler l'inimitable description que nous donne Dickens, dans son Little Dorrit, d'une journée de chaleur passée

Vous dire l'effroi des rares spectateurs égarés dans la salle, est chose impossible; il me faudrait la plume de Dickens pour vous dépeindre la stupéfaction profonde, mêlée d'abrutissement, qu'on lisait sur la figure de ces gens-l

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