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Mis à jour: 22 juin 2025
La cousine, qui venait de poser sur la table de nuit un verre d'eau sucrée et un roman de Dickens, la regardait. Sans répondre, elle se pencha, elle laissa échapper: Tu es gentille comme tout, ce soir!
I humbly and respectfully, but with full confidence, recommend it to my French readers. Charles Dickens. Tavistock-House, London, January 17th, 1857.
On peut être un grand connaisseur et un grand descripteur d'hommes, dans une langue ordinaire, comme Ben Jonson, Thackeray ou George Eliot, qui sont plutôt des génies d'analyse. Il faut, pour rendre les éclairs d'expression, les brusques attitudes et les raccourcis de la vie, la langue plus riche et plus inventée de peintres comme Shakspeare, ou Dickens, ou Rabelais, ou Molière.
Le romancier anglais Ch. Dickens décrit ainsi l'arbre de Noël : «Cet arbre, planté au milieu d'une large table ronde et s'élevant au-dessus de la tête des enfants, est magnifiquement illuminé par une multitude de petites bougies et tout garni d'objets étincelants. Il y a des poupées aux joues roses qui se cachent derrière les feuilles vertes, il y a des montres, de vraies montres, ou du moins avec des aiguilles mobiles, de ces montres qu'on peut monter continuellement; il y a de petites tables vernies, de petites armoires et autres meubles en miniature qui semblent préparés pour le nouveau ménage d'une fée; il y a de petits hommes
Campardon et Gasparine geignaient dans leur lit trop étroit, tandis que Rose, se carrant au milieu du sien, les membres écartés, lisait Dickens, avec des larmes d'attendrissement. Un grand silence tomba, la nuit chaste jetait son ombre sur l'honnêteté de la famille.
Oui! des fous, des fous, s'écria Dickens, en se levant avec cette agitation
Comme nous parlions de ce qu'avait dit la veille Tourguéneff, qu'il n'y avait qu'un homme populaire en Russie: Dickens, et que depuis 1830 notre littérature n'y avait plus d'influence et que tout allait aux romans anglais et américains, Taine nous dit que, pour lui, il est certain que l'avenir développera encore ce mouvement, que l'influence littéraire de la France ira toujours en diminuant , que depuis le XVIIIe siècle, il y a en France pour toutes les branches de connaissances des hommes remarquables, un beau front d'armée, mais rien derrière, pas de troupes, que c'est toujours l'histoire de la province et de Paris,
Sur un autre point encore, la peine des professeurs du Lycée n'a pas été perdue. La connaissance de la langue, de la littérature de deux nations étrangères, l'Angleterre et l'Italie, était sans contestation beaucoup plus répandue alors qu'aujourd'hui dans le grand monde. Nous avons aujourd'hui plus de savants versés dans ces connaissances, plus de critiques capables d'apprécier justement les écrivains étrangers; nous envoyons plus d'habiles explorateurs dans les archives de Londres et de Rome. Mais la haute société compte infiniment moins de personnes capables de lire dans le texte les poèmes, les romans des deux nations, de saisir les allusions qui s'y rapportent. Au temps dont nous parlons, elle comprenait mal Shakespeare, mais Fielding, Richardson, Robertson trouvaient encore plus de lecteurs parmi ses membres que n'en ont eu plus tard Dickens et Macaulay. Quant
On a fréquemment cité Dickens,
Une vérité banale renferme plus de génie que les ouvrages de Dickens, de Gustave Aymard, de Victor Hugo, de Landelle. Avec les derniers, un enfant, survivant
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