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En bas, Campardon tourna dans la rue Neuve-Saint-Augustin. Il se taisait, de l'air absorbé d'un homme qui cherche une transition. Vous vous rappelez mademoiselle Gasparine? demanda-t-il enfin. Elle est première demoiselle chez les Hédouin.... Vous allez la voir. Octave crut l'occasion venue de contenter sa curiosité. Ah! dit-il. Elle loge chez vous?

J'irai voir monsieur Campardon ce soir, dit enfin l'abbé Mauduit. Priez-le de m'attendre.... Je veux causer

Elle va mieux, accourut dire Campardon, qui avait jeté de nouveau un coup d'oeil. On peut entrer.

Octave le regarda descendre en souriant. Puis, comme l'heure du déjeuner approchait, il résolut de reporter la clef du grenier plus tard. Au déjeuner, chez les Campardon, il s'intéressa surtout

Vous cherchez peut-être monsieur Campardon? dit une voix près de lui, comme il hésitait, fouillant la nef du regard.

Le soir, par un raffinement de tactique, pendant que Berthe devait dîner chez ses parents, Octave avait accepté une invitation chez les Campardon. Il comptait rester l

Octave, étourdi encore des recommandations de madame Josserand, n'ayant pas bien compris, conta pourtant la petite histoire d'un air aisé. En effet, j'ai rencontré madame Vabre, et nous sommes allés voir ensemble les réparations du Calvaire, que dirige mon ami Campardon. Vous avouez, balbutia le mari, repris de fureur, vous avouez....

Campardon, sans la laisser achever, l'avait saisie aux épaules et la baisait rudement sur les lèvres, dans l'air chauffé de gaz, qui s'alourdissait déj

Lorsque Octave fut habillé, il se rappela sa promesse d'aller voir madame Campardon. Il avait deux grandes heures devant lui, le convoi étant pour onze heures, et il songea

C'est madame Valérie, la femme de monsieur Théophile Vabre, le fils cadet du propriétaire: vous savez, les gens du premier? reprit Campardon, quand il eut fait quelques pas. Oh! une dame bien charmante!... Elle est née dans cette boutique, une des merceries les plus achalandées du quartier, que ses parents, monsieur et madame Louhette, tiennent encore, pour s'occuper.