allez

SOPHIE. Allez, monsieur, allez, je ne vous en empêche pas. PAUL. Ah bah! tu boudes sans savoir pourquoi. Au revoir,

comtesse de Sophie Ségur - Les malheurs de Sophie

Elle s'arrêta, et après un moment de délibération: Tant pis pour le père Vincent! poursuivit-elle. Ah! il a voulu tuer Lucienne. Eh bien! vous allez savoir tout ce que je sais. Primo, il ne m'était rien de rien.... Dame! ce n'est pas très-flatteur pour moi, mais c'est comme cela.... Jamais il ne m'a seulement embrassé le bout du doigt.... Il disait comme cela qu'il m'aimait, mais qu'il me respectait encore plus parce que je ressemblais

Emile Gaboriau - L'argent des autres: II. La pêche en eau trouble

Vous allez me perdre un peu; ne soyez plus, pendant ces derniers thés servis si mignonnement par Hélène, le cher tyran qu'on aime malgré tout. Philippe

Hermine Oudinot Lecomte du Noüy - Amitié amoureuse

Vous allez enfin, chers lecteurs, dans l'épisode de la Crosse abbatiale, assister

Eugène Sue - Les mystères du peuple, Tome IV: Histoire d'une famille de prolétaires à travers les âges

Mais, Gisèle, disait Robert, sous son eau, ce n'est pas gentil. Je croyais que vous m'aimiez!... Possible, disait Gisèle, mais je n'aimerai certainement pas un loufoque! Allez, ouste! Vous ne voyez pas que vous mouillez tout chez moi? Robert ne comprenait pas plus son ridicule que son erreur: Mais, enfin! disait-il. Je vous aime, moi! Et qu'ai-je fait?

René Boylesve - Le dangereux jeune homme

ADAM. Allez, mon maître, allez, je vous suivrai jusqu'au dernier soupir avec fidélité et loyauté. J'ai vécu ici depuis l'âge de dix-sept ans jusqu'

William Shakespeare - Comme il vous plaira

Le mousquetaire descendit du siège. Monsieur, dit d'Artagnan, vous allez rendre la liberté

Alexandre Dumas - Vingt ans après

«Vous êtes trop vif, Belliard, dit Napoléon; on se trompe facilement dans la chaleur du combat. Allez, regardez et re-venez!» Belliard venait

graf Leo Tolstoy - La guerre et la paix, Tome III

Ce que vous ne retrancherez pas, c'est ce fait invincible, que, pendant que vous allez d'un côté, la nation va de l'autre, que ce qui est pour vous l'orient est pour elle le couchant, et que vous tournez le dos

Victor Hugo - Actes et Paroles, Volume 1

Allez... allez... monsieur le marquis, vous pouvez bien pleurer de contentement, vous avez assez pleuré de douleur. Et moi donc! tenez... est-ce que je ne fais pas comme vous? Braves larmes! je ne les donnerais pas pour dix années de ma vie... Je n'ai plus qu'une peur, c'est de ne pouvoir pas m'empêcher de me jeter aux genoux de Mme la marquise la première fois que je vais la voir...

Eugène Sue - Les mystères de Paris, Tome III