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Mis à jour: 22 mai 2025
Sa première passion fut pour la Malibran. Il allait quelquefois au parterre des Italiens; il emprunta de l'argent, et y alla toutes les fois que la divine cantatrice paraissait sur la scène. Certes, il y avait de quoi allumer son enthousiasme, et j'aurais désiré que cette adoration continue occupât plus longtemps son imagination. Elle l'eût préparé
«Nous fûmes mandés par M. le cardinal, MM. Servien, Hervart et moi, priés de nous engager chacun en notre particulier et faire les efforts que nous pourrions. M. le cardinal emprunta aussi en son nom, et nous fîmes tous quelque somme, qui fut bientôt consommée,
Il sacrifia d'abord ce qu'un honnête vieillard a de plus cher au monde, la sainteté du nom paternel. Il emprunta
On sait que dès les temps les plus reculés, l'homme emprunta aux animaux leur peau ou leur fourrure pour s'en vêtir. Le commerce des pelleteries remonte donc
Des écrivains me firent l'honneur d'imiter Atala et René, de même que la chaire emprunta mes récits des missions et des bienfaits du christianisme. Les passages dans lesquels je démontre qu'en chassant les divinités païennes des bois, notre culte élargi a rendu la nature
Gardner, Remarks on the Genius and Writings of Allan Ramsay, p. XLIII. Hill Burton. [Footnote 189: «Il emprunta probablement ce titre au Gentle Shepherd de la XIIe
Des cent millions qu'il emprunta d'abord, pas un quart n'arriva au Roi. Il paya les dettes des princes, les gorgea. Cinquante-six millions pour le seul comte d'Artois, et vingt-cinq pour Monsieur. Condé n'en eut que douze, mais avec six cent mille livres en viager. On ne dit pas ce qu'eurent les prôneurs, les menteurs, intrigants de tous genres, qui avaient fait ce grand ministre.
On ne peut méconnaître dans ce roman la première idée de celui qui fait le fond des Mille et une Nuits où la sultane Shéhérazade qui ne dort pas, amuse autant de fois par des contes le sultan son époux, pour l'empêcher de lui couper la tête. La ressemblance avec le Décaméron de Boccace est moins frappante; on voit pourtant qu'ils ont de commun cette idée fondamentale de réunir plusieurs personnes qui, dans un espace de temps donné, et en se proposant un but, racontent différentes histoires. Il y a, dans quelques détails, d'autres rapports, même des traits d'imitation; et voici ce qui les explique. Ce roman indien, dont on nomme l'auteur Sendebad ou Sendebard fut successivement traduit en arabe, en hébreu, en syriaque, en grec, et imité du grec en latin au douzième siècle, par un moine français nommé Jean , sous le titre de Dolopathos ou de Roman du Roi et des sept Sages. Dans le même siècle, il fut mis en vers français par un poëte nommé Hébers , et en prose par un traducteur inconnu, avec des changements dans le fond, dans la forme et dans le nombre des Nouvelles . On y en reconnaît trois du Décaméron: il est donc plus que probable que Boccace eut entre les mains le Delopathos latin ou français, qu'il en emprunta l'idée de rattacher
Elle résolut de solliciter, de faire des démarches, d'aller dans les comités, dans les bureaux, chez des représentants, chez des magistrats, partout où il faudrait. Elle n'avait point de robe. Sa mère emprunta une robe rayée, un fichu, une coiffe de dentelle
Cupidon posa sa torche, et s'endormit. Une des filles de Diane en sut profiter, et plongea vivement ce brandon d'amour dans la source glacée d'une vallée de ce pays: cette fontaine emprunta au feu sacré de l'amour une chaleur perpétuelle et constante: elle devint un bain que les hommes regardent encore comme un remède souverain contre des maladies singulières. Mais la torche de l'amour vient se rallumer aux yeux de ma maîtresse; l'enfant voulut essayer d'en toucher mon coeur et moi, déj
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