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Mis à jour: 18 mai 2025
Riquier se tourna vers un protecteur plus bienveillant, le roi de Castille, Alphonse X le Savant (1252-1284). La libéralité d'Alphonse X était devenue proverbiale et les troubadours accoururent en foule auprès de lui. Il était poète lui-même et Guiraut Riquier se trouva en relations, non seulement avec de nombreux troubadours, mais aussi avec les principaux représentants de l'école galicienne dont Alphonse X était un des chefs. Dans ce milieu un peu cosmopolite la lutte pour la vie et pour la gloire dut être rude; certaines allusions obscures de notre poète permettent de le deviner; cependant Guiraut Riquier paraît être resté, de 1270
Albertine lut l'ordonnance du médecin, et prépara promptement une petite bande de toile urgente pour la saignée, qu'exécuta sur l'heure la main légère et hardie d'Alphonse.
La main d'Angèle tremblait dans celle d'Alphonse, celle d'Alphonse frémissait dans celle d'Angèle. Ils s'aimaient: avaient-ils besoin de se le dire? La première, Angèle s'arracha aux fascinations de ce magnétisme dominateur. Avez-vous soif? demanda-t-elle d'un ton troublé. Le charpentier ne répondit pas. Il errait toujours dans les plaines d'un monde éthéré.
Riquier quitta vers 1279 la cour de celui qu'il appelle le «bon roi de Castille». Les dernières années de la vie d'Alphonse X ne furent qu'une série de déboires; il eut
Monsieur, trop heureuse.... Tous les amis d'Alphonse sont les miens.... Vous voil
Sainte-Marie, mère de Dieu, priez pour nous! s'écria-t-elle en apercevant le sang qui inondait la face d'Alphonse; cet homme a été assassiné! Au secours! Mais Angèle n'a pas de voisin, son cri ne trouve pas d'écho. Alors, maîtrisant ses craintes, elle prend son pot-
Le Portugal laissa faire. Il était las de son ancien maître. Seul, le comte de Kardigâne refusa de reconnaître l'usurpateur et de lui rendre la place d'Oporto. J'ai de l'honneur plein ma vie, dit-il au député d'Alphonse, qui le sommait de lui donner les clefs de la ville. Je ne deviendrai pas infâme
Une lettre pleine de l'éloquence du désespoir, adressée au même moment par le Tasse au cardinal Albert d'Autriche, frère de l'empereur Rodolphe, pour solliciter l'intervention de l'empereur auprès d'Alphonse, témoigne de la même vigueur d'esprit au milieu de la même infirmité de raison.
Quel fut l'étonnement de Garcias au changement subit qu'il aperçoit dans les dispositions, les affections, les sentiments de son roi. Le vertueux gentilhomme croit y démêler un coup du ciel, il en rend intérieurement grâces, de toute la chaleur de son âme. Muni de l'anneau, il entre dans Tolède et annonce au peuple qui l'environne avec inquiétude, les intentions d'Alphonse. Le bruit s'en répand dans tous les quartiers, on jette au loin les armes, on se précipite en foule pour aller au-devant de lui; il aperçoit, d'une hauteur sur laquelle il s'est arrêté, le clergé couvert de ses ornements, une foule mêlée de femmes, d'enfants, qui lèvent les mains vers le ciel. Son âme s'émeut
»C'est, aujourd'hui, le cas de Jeanne Lefustec, âgée de dix-sept ans, et d'Alphonse Landon, son camarade de chambrée, qu'elle affectionne bien tendrement, qu'elle défend avant elle-même avec beaucoup d'énergie. »Que leur reproche-t-on? »1º D'avoir, ensemble et de concert, pour parler le langage juridique, soustrait un oreiller
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