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Françoise, qui, après la mort de ma tante, ne croyait pouvoir parler que sur un ton apitoyé, dans les mois qui précédèrent le mariage de sa fille, eût trouvé choquant, quand celle-ci se promenait avec son fiancé, qu'elle ne le tînt pas par le bras. Albertine, immobilisée auprès de moi, me disait: Vous avez de jolis cheveux, vous avez de beaux yeux, vous êtes gentil.

Non seulement Albertine me parla de Robert Forestier et de Suzanne Delage, mais spontanément, par un devoir de confidence que le rapprochement des corps crée, au début du moins, avant qu'il ait engendré une duplicité spéciale et le secret envers le même être, Albertine me raconta sur sa famille et un oncle d'Andrée une histoire dont elle avait,

Tout au plus, lorsque quelque belle jeune femme descendait d'automobile au coin de la plage, Albertine ne pouvait-elle s'empêcher de se retourner. Et elle expliquait aussitôt: «Je regardais le nouveau drapeau qu'ils ont mis devant les bains. Ils auraient pu faire plus de frais. L'autre était assez miteux. Mais je crois vraiment que celui-ci est encore plus moche

"Le lendemain, nous avons vu arriver un beau jouet pour l'enfant, accompagné d'une carte du prince Milcza. Comme Albertine se sentait déj

Albertine, cette fois, rentrait

Ma gouvernante fit aussi venir en ce temps-ci ses deux autres nièces de Marwitz. L'aînée des deux se nommoit Albertine, et la cadette Caroline. Je les appellerai dorénavant par leurs noms de baptême, pour les distinguer de leur soeur aînée. La cadette n'eut pas été quinze jour

Une fois Albertine ne se contenta pas de la froideur et je n'en fus que plus malheureux. Elle me savait ennuyé qu'elle pût quelquefois rencontrer une amie de sa tante, qui avait «mauvais genre» et venait quelquefois passer deux ou trois jours chez Mme Bontemps. Gentiment, Albertine m'avait dit qu'elle ne la saluerait plus. Et quand cette femme venait

Les plus petites embrassèrent tendrement Albertine, qui les baisa d'un baiser plein d'amour et d'avenir. Je dois vous dire, pour l'avoir vu de mes yeux qu'elle devint, en effet, plus tard, le guide et l'appui de ses soeurs, dont elle est encore adorée.

Ce petit coin du tableau reposa délicieusement les yeux de M. Sarrasin, car Albertine était l'aînée. Quel bonheur pour lui de découvrir en elle le germe d'une patience si utile un jour dans sa maison! cette grâce liante et calme devait si bien unir ensemble les jeunes branches qui l'enracinaient au monde!

Il faut convenir que Lutine ainsi barbouillée, le bras vide, et lavée par toutes les potions qu'on lui avait fait boire, demeura dans un état de convalescence, dont les bons soins de la sage Albertine ne purent jamais la tirer entièrement.