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Mis à jour: 14 juin 2025


Cicéron, dans sa première Tusculane, cite deux passages du vieil Ennius, chacun de trois vers: les vers du premier finissent par trois verbes terminés en escere ; ceux du second, par trois verbes terminés en ari . Ce ne peut avoir été une distraction du poëte; et s'il y mit de l'intention, il regardait donc cette consonnance comme un moyen de plaire ou de produire un effet quelconque.

Voulez-vous que je vous lise le brouillon de mon placet: «O Jésus que j'aime tant, souffrez que j'épouse GontranC'est en vers? Non, la consonnance n'est pas voulue. Me voil

Cette prosodie de la consonnance de deux pensées se répondant, comme deux voix, du commencement du vers et

[Note 34: Have we not hiren here? Il est absolument impossible de donner aucune explication satisfaisante sur les allusions et les citations dont se compose le langage de Pistol. Tirées pour la plupart de pièces de théâtre aujourd'hui inconnues, et pour la plupart encore défigurées par ce burlesque personnage, elles pouvaient avoir pour le public du temps de Shakspeare un mérite entièrement perdu aujourd'hui, et ne laissent plus saisir que l'intention du rôle. Il paraît bien, au reste qu'hiren était, en style d'argot, une des dénominations des filles publiques (huren en allemand). Il serait possible aussi qu'en raison de la consonnance de ce mot avec iron (fer), les tapageurs du temps eussent donné ce même nom

La consonnance ou la dissonance déchirante des chants du rossignol avec les gémissements muets du coeur blessé pendant les nuits d'insomnie est admirablement éprouvée dans quelques vers d'un des sonnets sans doute écrits dans un des retours de Vaucluse.

Aigues-Mortes! consonnance d'une désolation incomparable! quand je descendis de la gare, déj

Dans les poëtes du meilleur temps, on trouve des vers dont le milieu forme consonnance avec la fin, ou deux vers de suite dont les derniers mots ont le même son. La consonnance entre le milieu et la fin est surtout très-fréquente dans le petit vers élégiaque. Il suffit, pour en trouver, d'ouvrir presque au hasard Tibulle, Properce ou Ovide.

Si maintenant on nous interroge sur cette forme de la poésie qu'on appelle le vers, nous répondrons franchement que cette forme du vers, du rhythme, de la mesure, de la cadence, de la rime ou de la consonnance de certains sons pareils

En écartant les dégoûtantes images du commencement de ce récit, la poésie ou l'émotion par le beau ne peut aller plus loin. Quel beau? me dira-t-on. Le beau dans la douleur; le pathétique, le serrement de coeur par la pitié au spectacle de la douleur d'autrui; la consonnance sublime entre le sanglot d'autrui et notre propre sanglotement intérieur; la jouissance douloureuse, mais enfin la jouissance morale, de notre sympathie humaine pour la peine d'un être humain comme nous, l'homo sum, humani nihil a me alienum du poëte latin; cette sympathie désintéressée qui fait

Et quelle était la forme, la mesure, le rhythme, la consonnance, le mètre de ces chants poétiques, de ces vers sacrés? Avaient-ils l'hémistiche, les pieds, la rime de ce langage nombreux et musical que les Grecs, les Latins et nous, nous appelons aujourd'hui des vers?

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