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Si vous causez avec un Américain, et si vous lui parlez de M. Poe, il vous avouera son génie; volontiers même, peut-être en sera-t-il fier, mais il finira par vous dire avec un ton supérieur: «Mais moi, je suis un homme positif»; puis, avec un petit air sardonique, il vous parlera de ces grands esprits qui ne savent rien conserver; il vous parlera de la vie débraillée de M. Poe, de son haleine alcoolisée, qui aurait pris feu

Eh bien! d'Artagnan, vous me causez une vive peine. En effet, si j'ai un projet que je doive vous taire, je vous le tairai, n'est-ce pas? Si j'en ai un que je doive vous révéler, je vous l'aurais déj

Oüy, divine Beauté, je vous parle sans feinte, Vous causez les ardeurs dont mon ame est attainte, Et perdant mon espoir je veux perdre le jour. bien douterez-vous encor de son amour? Rodrigue asseurément vous parlera de mesme. Il est certain grand Roy que tout le monde l'aime, Et que sur tous les coeurs elle a tant de pouvoir, Que pour ne l'aimer point il ne faut point la voir.

Causez de Poe avec un Américain, il avouera peut-être son génie, peut-être même s'en montrera-t-il fier; mais, avec un ton sardonique supérieur qui sent son homme positif, il vous parlera de la vie débraillée du poëte, de son haleine alcoolisée qui aurait pris feu

Victor-Ange-Guillaume Grandet. » Vous causez donc? dit le père Grandet en pliant avec exactitude la lettre dans les mêmes plis et la mettant dans la poche de son gilet. Il regarda son neveu d'un air humble et craintif sous lequel il cacha ses émotions et ses calculs. Vous êtes-vous réchauffé? Très bien, mon cher oncle.

Ce serait le bouquet, grommela Coyatier, si, en fin de compte, je me laissais emballer pour l'autre monde par une demoiselle!... C'est vrai que vous êtes une lionne, dites donc! Non pas parce que vous bravez la mort pour vous venger, la moindre cadette de votre pays en fait autant, mais parce que vous causez l

Le père d'Euphrosie daigne me prendre la main: Je ne vous trompe point, mais votre sort et le mien n'en sont guère moins cruels. Croyez ce que je vous dis, et apprenez les malheurs que vous causez. Huit jours après votre départ, le marquis de * vint voir ma fille. Euphrosie venait de lui confier son état et son amour. Le marquis, furieux, s'emporte contre sa femme dans les termes les plus outrageants. En vain mon fils veut l'apaiser. Le marquis menaça Euphrosie. Il voulut même la frapper. Mon malheureux fils se jeta au-devant de sa soeur; son beau-frère, hors de lui, tire son épée et le force

Si vous causez tous

Comme des goujats, des ivrognes?... Fi donc! repartit Cabrillat. C'est pour le coup que M. Pichancourt trouverait que vous causez préjudice

Vous versez bien des pleurs, Madame, lui dit-il, pour une mort que vous causez, et qui ne vous peut donner la douleur que vous faites paraître. Je ne suis plus en état de vous faire des reproches, continua-t-il avec une voix affaiblie par la maladie et par la douleur; mais je meurs du cruel déplaisir que vous m'avez donné. Fallait-il qu'une action aussi extraordinaire que celle que vous aviez faite de me parler