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Hauteur, 1 P. 3 p°. 4 lig. Largeur, 11 p°. 2 lig. Polymnie semble être ici la Muse de la pantomime; son attitude, son doigt sur la bouche, indiquent le silence et la méditation. «Muettes rivales de la voix, les mains de Polymnie retraçaient des images sensibles; silencieuse et prudente, cette mère de la danse expliquait avec ses gestes une figure ingénieuse». Ce passage de Nonnus (Dionys., v. V. 140 et suiv.) et l'opinion de Cassiodore (I. ép. 20) prouvent la justesse de l'intention du peintre. L'inscription (POLYMNIE, LA FABLE) en donne aussi l'explication. Cette fille de la mémoire, qui lui doit particulièrement son nom, selon l'étymologie prise de l'orthographe que nous suivons ici, conserve le souvenir des actions héroïques et de l'histoire des Dieux, et vient les exposer aux hommes, dans son silence éloquent et ingénieux; C'est

Les plus savants d'entre eux ne dédaignaient point cet exercice. Cassiodore lui-même en faisait ses plaisirs. Entre tous les travaux du corps, écrivait-il, c'est celui d'antiquaire, c'est-

Je n'ai seulement pu retrouver le secret de Cassiodore, dont la lampe brûlait sans mèche et sans huile. Chose simple pourtant! Peste! dit Jehan dans sa barbe.

Q. Aurelius Symmachus. Voy. Cassiodore, Hist. tripart., liv. 9, c. 23. Prudent. in Symmachum, liv. Saturnal. liv. V, c. 1. Tiraboschi, Stor. della Letter. ital., t. II, liv. IV, c. 3.

C'étaient des joueurs de harpe, des chanteurs ambulants, et quelquefois les poëtes eux-mêmes, qui étaient entre les différentes nations les intermédiaires de ces échanges. Deux tribus voulaient-elles troquer leurs poëmes, elles troquaient leurs chanteurs. Nous pouvons lire encore dans le recueil de Cassiodore une lettre par laquelle Théodoric, qui devait être bientôt lui-même un personnage traditionnel si célèbre, envoyait au roi des Franks Clovis un joueur de harpe que celui-ci lui avait demandé. «Nous avons choisi pour vous l'envoyer, lui écrivait-il, un musicien consommé dans son art, qui, chantant

III, cap. 8. Au tems de ce prince vivoit Cassiodore, clerc et renomné en séculière et divine science: Denyse abbé, homme de très merveilleuse disputoison du sacrement et du tems de Pasques : Prisciens en la cité de Césaire fleurissoit en l'art de grammaire, qui bailla les faits des apostres par vers: saint Benoit en la sainte discipline plus heureusement que tous les autres: tous ces preudhommes fleurirent en ce tems en sainte vie et en bonnes œuvres. Messire saint Germain évesque de Paris alla visiter le sépulchre en Jérusalem au temps de ce prince; par Coustantinoble retourna:

Sous la régence de sa fille Amalasonte, et les règnes courts, violents et honteux de son petit-fils et son neveu l'influence de Cassiodore maintint dans leur cour l'habitude d'encourager ce qui restait encore d'hommes de quelque talent et de quelque instruction, de réchauffer, autant que cela était possible, les restes presque éteints du feu sacré des études. Mais ce fut alors qu'un autre feu s'alluma de nouveau en Italie, et qu'une guerre terrible la plongea dans des malheurs, dont tous ceux qu'elle avait éprouvés jusqu'alors, n'étaient en quelque sorte que le prélude, et dont il lui fallut plusieurs siècles pour effacer les funestes suites. L'empereur d'Orient, Justinien, résolut enfin de la délivrer du joug des Goths. L'illustre Bélisaire y fit triompher ses armes. Après qu'il en eût été payé par une disgrâce non moins célèbre que ses victoires , Narsès qui le remplaça, continua d'attaquer les Rois Ostrogoths, qui continuaient de se défendre. Il les renversa enfin du trône, et détruisit leur domination, qui avait duré soixante-quatre ans en Italie, Mais bientôt il eut

Malall. Chron., ad. ann. 453. Cf. Aucun écrivain contemporain ne s'explique sur ce sujet si controversé plus tard. Dans le siècle suivant, on voit se produire collatéralement les deux versions principales avec leurs variantes. Cassiodore nous dit, dans sa chronique, que le roi des Huns fut emporté par une hémorragie nasale; le comte Marcellin, homme lettré et homme d'

Sans doute était-ce, selon toute apparence, la Bible d'abord, puis le traité de la musique de Boëce, et encore les ouvrages universels de Cassiodore, surnommé le «héros des bibliothèques». Ils les transcrivaient doctement du gothique, sans ponctuation, ni interlignes, en jolis caractères arabes, avec des plumes affûtées comme des becs d'oiseaux, alternativement trempées dans les quatre encres: la noire, la rouge, la bleue et la verte.

On en trouve l'origine dans Cassiodore et saint Augustin. Lect., c. XXVII. De Ordin., t. II, c. XII, etc. Retract., l. I, c. VI. Cf. Budd. Observ. select. IV, t. Dialect., p. 435. Johan. Saresb. Policrat., l. II, c.