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Si, en plein jour, toute cette partie de Jérusalem est déj

Le jour , sans distinction de libres et de serfs, les puissants désignèrent ainsi ceux qui les suivaient, NOS PAUVRES, fut l'ère de l'affranchissement . Le grand mouvement de la croisade ayant un instant tiré les hommes de la servitude locale, les ayant menés au grand air par l'Europe et l'Asie, ils cherchèrent Jérusalem, et rencontrèrent la liberté.

Scène IV: «La veille sur les remparts» La nuit, au clair de lune. Sur les murs de Jérusalem. L'ennemi est au pied. Au loin, Samarie brûle, Gilgal brûle.

La Jérusalem délivrée est l'épopée de la chevalerie. Arioste et ses prédécesseurs en avaient fait l'épopée légère et badine; le Tasse en faisait l'épopée héroïque.

Le congrès de Vienne adjugea le duché de Gênes au roi de Sardaigne, de Chypre et de Jérusalem . Il n'y eut plus, il n'y a plus de république de Gênes. Cette plante vivace dont nous parlions tout

La vraie croix, suivant la description que nous en donnent les historiens, était renfermée dans un étui d'argent ciselé, garni d'une serrure dont le patriarche de Jérusalem avait seul la clef, et qui, pour surcroît de précaution, était scellé de son sceau épiscopal . Soit réserve respectueuse vis-

Ce matin, nos chevaux sellés, nos cantines fermées, nous allions quitter Jérusalem et continuer notre route

Le seul objet vers lequel une telle âme pouvait se tourner encore, c'était la croisade, la délivrance de Jérusalem. Cette grande puissance, bien ou mal acquise, qui se trouvait dans ses mains, c'était l

L'homme errant pensait aux derniers descendants de sa race; il sentait, au déchirement de son coeur, que de grands périls les menaçaient encore... Et dans un désespoir amer, profond comme l'Océan, l'artisan de Jérusalem s'assit au pied du calvaire.

Il est presque inutile de parler des caractères. La difficulté semblait immense, la puissance a paru plus grande encore que la difficulté. Plus les personnages étaient au-dessus ou en dehors des conditions communes des héros d'épopée, et plus leur nature et leur position les éloignaient du lecteur, plus Milton les en a rapprochés. Non seulement Adam et Ève, mais chacun des Anges déchus, chacun des Anges fidèles, sont plus humains (dans le sens ils devaient être humains) qu'aucun des personnages de l'Iliade et de la Jérusalem. Aucun n'est uniquement le nom propre d'un caractère ou d'une passion; chacun est personnel et vivant. La logique qui détermine leurs actes et leurs paroles n'est pas celle de leur fonction générale dans le drame, mais de leur situation; elle n'appartient pas