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Mis à jour: 3 mai 2025
Hier il m'a semblé, sans doute j'étais ivre, Voir sur l'arche d'un point, un choc de cavaliers Tout cuirassés de fer, tout imbriqués de cuivre Et caparaçonnés de harnais singuliers. Des dragons accroupis grommelaient sur leurs casques, Des Méduses d'airain ouvraient leur yeux hagards Dans leurs grands boucliers, aux ornements fantasque, Et des noeuds de serpents écaillaient leurs brassards.
Quelques heures après nous étions debout, étrillés, sanglés, caparaçonnés, prêts
Lundi dernier, un char funèbre attelé de quatre chevaux caparaçonnés de deuil et suivi d'une foule attristée, gagnait l'église d'Argenteuil. Au milieu du char s'élevait un cercueil recouvert d'une tenture blanche et surmonté d'une blanche couronne: c'était la jeune morte qui partait avec ce nombreux cortège de pleurs et d'amers regrets.
François de Trenck se perdit dans l'éloignement; mais pendant longtemps Consuelo et le chanoine virent défiler ses magnifiques chevaux richement caparaçonnés, que ses gigantesques hussards croates conduisaient en main.
En vrai soldat, je me résignai et marchai avec toute la fierté et l'assurance que mon âme put obtenir de ma chair émue. Arrivés hors de la hutte, les Indiens de mon escorte montèrent sur des chevaux magnifiquement caparaçonnés de peaux d'ours, de tigres et de bisons; tous avaient appendu aux mors de leur bride des chevelures
Le 5 juin, l'empereur reçut un ambassadeur extraordinaire de la Porte qui venait lui apporter des paroles de félicitations et d'amitié du sultan. Ce message fut accompagné de présents magnifiques, de diamants, d'un collier de perles de la valeur de quatre-vingt mille francs, de parfums, d'un nombre infini de châles, et de chevaux arabes, caparaçonnés de harnais enrichis de pierres précieuses. L'empereur donna
Dans le mystère de la forêt, au milieu de ces ruines où les tigres parfois ont caché leurs petits, sous le regard de ces figures de pierre figées dans leur rêve éternel, l'imagination s'exalte, tente d'évoquer le passé; et parmi ces choses mortes, la vie rejaillit, comme une étincelle dernière, des milliers de sculptures dont les pierres éparses sont couvertes et animées. Voici les monarques passant dans leur gloire sur leurs chars de combat, que traînent des chevaux caparaçonnés d'or; un cortège de prêtres et de courtisans les accompagne. Puis l'armée des guerriers, l'armée des esclaves, et fermant la marche, la prodigieuse cohorte des éléphants. Ce sont les bas-reliefs d'Angkor-Wat qui s'animent et défilent processionnellement sur l'immense chaussée entre le palais et le temple. Mais tout cela est mort
Voici la rude esquisse qu'il nous donne de la figure du Templier: «Cheveux tondus, poil hérissé, souillé de poussière; noir de fer, noir de hâle et de soleil... Ils aiment les chevaux ardents et rapides, mais non parés, bigarrés, caparaçonnés... Ce qui charme dans cette foule, dans ce torrent qui coule
Quant aux chevaux, splendidement caparaçonnés, joyeux de se sentir enfin libres sur la terre ferme après une longue traversée, ils s'en venaient piaffant avec ardeur et grâce, en rongeant impatiemment le mors dont ils tachetaient, sans souci, l'or et l'argent massifs. Après les fiers vingt-quatre gardes, venaient quatre pages non moins richement vêtus que les premiers.
Dans leur grand deuil, ils sont faits comme des fous, particulièrement les premiers jours, que les laquais aussi bien que leurs maîtres ont de longs manteaux traînants, et qu'ils mettent, au lieu de chapeau, un certain bonnet de carton fort haut, couvert de crêpe. Leurs chevaux sont tout caparaçonnés de noir, avec des housses qui leur couvrent la tête et le reste du corps. Rien n'est plus laid. Leurs carrosses sont si mal drapés, que le drap qui couvre l'impériale descend jusque sur la portière. Il n'y a personne qui, en voyant ce lugubre équipage, ne croie que c'est un corps mort qu'on porte en terre. Les gens de qualité ont des manteaux d'une frise noire, fort claire et fort méchante; la moindre chose la met en pièces, et c'est le bon air, pendant le deuil, d'être tout en guenilles. J'ai vu des cavaliers qui déchiraient exprès leurs habits, et je vous assure qu'il y en a
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