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Ces flammes, ce bruit, cette poussière d'une douzaine de chevaux richement caparaçonnés, firent un contraste étrange au milieu de la nuit avec la disparition sourde et funèbre des deux ombres de Porthos et d'Aramis. Athos rentra chez lui. Mais il n'avait pas gagné son parterre, que la grille d'entrée parut s'enflammer; tous ces flambeaux s'arrêtèrent et embrasèrent la route.

Ils se regardèrent encore. «Mais il n'y avait pas de chevaux, ajoutai-je, en repoussant avec force l'idée des quatre coursiers richement caparaçonnés, que j'avais eu d'abord la singulière pensée d'y atteler. Est-ce possible, mon oncle? demanda Mrs Joe; que veut dire cet enfant?

Quand les kalians eurent été de nouveau apportés et remportés, et le thé de même, on se remit en route. Le roi ayant envoyé des chevaux richement caparaçonnés pour le ministre et les principaux membres de la mission, avec les djélodars portant comme de coutume la couverture brodée sur l'épaule gauche, tout ce train s'ébranla, et au bout de trois quarts d'heure, allant d'ailleurs avec une lenteur extrême, nous entrâmes dans Téhéran par la porte Neuve. Nous aperçûmes tout d'abord, sur la place qui précède la porte, le piquet ou mât destiné

Aussi, dès le matin, Masaniello vit-il arriver deux chevaux magnifiquement caparaçonnés, l'un pour lui, l'autre pour son frère. C'était une nouvelle attention de la part du vice-roi. Les deux jeunes gens montèrent dessus et se rendirent au palais.

Oh! s'en aller dormir au fond de la terre, plus hospitalière aux morts qu'aux vivants dans un char triomphal dont frissonneraient les énormes panaches noirs, dont s'effeuilleraient les couronnes florales tout le long des rues, dont luiraient les symboliques orfèvreries, traverser la ville au pas processionnel de chevaux caparaçonnés que tiendraient en main des piqueurs, avoir derrière son cercueil des musiques qui se répondraient, des tambours qui battraient couverts de crêpes et tout un cortège de voitures aux lanternes allumées, d'hommes et de femmes vêtus de deuil, ne pas disparaître obscurément comme il avait vécu, ne pas dégringoler comme un chien abandonné dans la fosse commune des pauvres diables!

Les grelots de plusieurs mulets qui montaient la colline, et l'apparition d'une étrange caravane qui se dirigeait sur lui, apportèrent une distraction forcée aux pénibles réflexions de Michel-Ange Lavoratori. Les mulets étaient superbes et richement caparaçonnés et empanachés. Sur leurs longues housses de pourpre brillaient les insignes du cardinalat, la triple croix d'or, surmontée du petit chapeau et des glands. Ils étaient chargés de bagages et menés en main par des valets vêtus de noir,

Tous les mamelouks, montés sur des chevaux magnifiques richement caparaçonnés en or et en argent, enveloppés de draperies de toutes couleurs et de schalls flottans, lancés en plein galop en jetant des cris

Montés sur des chevaux magnifiquement caparaçonnés, une centaine de seigneurs, bardés de fer et la lance au poing, précédaient une vaste et somptueuse litière traînée par des mules parées de housses aux couleurs éclatantes. Dans un opulent et sévère costume de soie et de velours noirs, le roi était

Ce disant, il met son froc en bandoulière, empoigne son bâton de la croix qui était en coeur de cormier, se précipite hors de la chambre, et presque au même instant on le voit tomber dans le clos comme la foudre. Les diables qui poursuivaient frère Macé étaient tout caparaçonnés de peaux de loup, de veaux et de béliers, passementées d'os de mouton, de têtes de chiens, de ferrailles, de chaînes et d'ustensiles de cuisine; ils étaient ceints de grosses courroies auxquelles pendaient de grosses cymballes de vaches et des sonnettes de mulets, ils tenaient en main et agitaient en l'air de longs bâtons noirs pleins de fusées; d'autres portaient de longs tisons allumés sur lesquels ils jetaient de temps en temps de pleines poignées de souffre et de résine en poudre. C'étaient les gens du seigneur de Basché qui,

Remis en marche, on arriva en silence au palais de Crapaudine; Gracieux fut introduit en grande cérémonie par deux beaux lévriers caparaçonnés de pourpre et portant au cou de larges colliers étincelants de rubis. Après avoir traversé un grand nombre de salles toutes pleines de tableaux, de statues, d'étoffes d'or et de soie, de coffres l'argent et les bijoux débordaient, Gracieux et ses compagnons entrèrent dans un temple rond qui était le salon de Crapaudine. Les murs en étaient de lapis; la voûte, d'émail azuré, était soutenue par douze colonnes cannelées en or massif, qui portaient pour chapiteaux des feuilles d'acanthe en émail blanc bordées d'or. Sur un large fauteuil de velours était placé un crapaud gros comme un lapin: c'était la déesse du lieu. Drapée dans un grand manteau d'écarlate tout bordé de paillettes éclatantes, l'aimable Crapaudine avait sur la tête un diadème de rubis dont l'éclat animait un peu ses grosses joues marbrées de jaune et de vert. Sitôt qu'elle aperçut Gracieux, elle lui tendit ses quatre doigts tout couverts de bagues; le pauvre garçon fut obligé, par respect, de les portera