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Mis à jour: 25 mai 2025
Pour moi, je ne m'en plains pas; mais il est certain que ces tentatives peuvent être appréciées fort diversement. La rime a un charme propre et qui se suffit: on le voit par certaines chansons populaires et par ces rondes d'enfants où il n'y a que des assonances et aucune idée suivie.
Vous avez des poètes? des auteurs dramatiques? Non seulement nous avons des poètes, mais nous avons une poésie. Les premiers, nous avons délimité le domaine de la poésie. Avant nous, beaucoup d'idées étaient exprimées en vers, qui pouvaient l'être mieux en prose. On rimait des récits. C'était une survivance du temps où l'on rédigeait en langage mesuré les dispositions législatives et les recettes d'économie rurale. Maintenant les poètes ne disent plus que des choses délicates qui n'ont pas de sens, et leur grammaire, leur langue leur appartiennent en propre comme leurs rythmes, leurs assonances et leurs allitérations. Quant
Serait-il possible d'imaginer des formes de vers, toutes différentes de l'alexandrin régulier, et capables de produire des effets équivalents? Rien ne coûte d'essayer, et l'on ne s'en est pas fait faute . Dans la fièvre de rénovation qui a pris depuis vingt ou trente ans nos versificateurs, que de formes nouvelles nous avons vues apparaître! Vers en assonances; vers de neuf pieds, de onze ou de treize; vers non scandés; vers de longueur arbitrairement variable; vers amorphes, etc. Je ne vois pas jusqu'ici que de toutes ces tentatives soit sortie une forme de vers supérieure dans son principe
Des métaphores on passe aux assonances, une assonance, au dire de Flaubert, devant être évitée, quand même on devrait passer huit jours entiers
De même, ses rythmes, parfois, ne sont saisissables que pour lui seul. Je ne parle pas des rimes féminines entrelacées, des allitérations, des assonances dans l'intérieur du vers, dont nul n'a usé plus fréquemment ni plus heureusement que lui. Mais il emploie volontiers des vers de neuf, de onze et de treize syllabes. Ces vers impairs, formés de deux groupes de syllabes qui soutiennent entre eux des rapports de nombre nécessairement un peu compliqués (3 et 6 ou 4 et 5; 4 et 7 ou 5 et 6; 5 et 8), ont leur cadence propre, qui peut plaire
[Note 16: Est-il besoin de faire remarquer l'intention de ces allitérations, assonances et consonnances: cuer, cure, corps, cueur, vainqueur? La poésie du XVIe siècle est pleine de ces vestiges d'une versification antérieure. On lit
Je veux des baisers nouveaux et de nouveaux baisers, encore, joncher, comme de roses, ta chair adorée. Puisque c'est moi qui t'aime, pourquoi veux-tu que je sois aussi le joueur de flûte? 9-10 octobre 87. inv. et scrips. Assonances Risus et amicæ laudes. Le sourire est un dieu charmant, fait de lumière, limpide comme un vol subtil de libellules qui rase l'eau dormante et bleue des étangs clairs.
110 page 227 Ce choc de deux races... immense massacre... Isidore de Béja a raconté cette guerre vingt-deux ans après la bataille, dans un latin barbare. Une partie de son récit est en rimes, ou plutôt en assonances. Pacensis, ap. Scr. Rer. Fr. 111. page 228 ... Charles-Martel distribuait les dépouilles des évêques...
Ces vers sont tirés des Villages illusoires, écrits presque uniquement en vers libres assonances et coupés selon un rythme haletant, mais M. Verhaeren, maître du vers libre, l'est aussi du vers romantique, auquel il sait imposer, sans le briser, l'effréné, le terrible galop de sa pensée, ivre d'images, de fantômes et de visions futures. HENRI DE R
Ces vers, les derniers écrits par Mikhaël, peu de semaines, ou de jours, avant sa fin, ont un intérêt presque testamentaire. S'il faut les prendre pour autre chose qu'un thème, qu'un canevas où la broderie n'est qu'indiquée, si, alors, ils étaient, dans son esprit, définitifs, ils marquent le premier pas d'une évolution du poète vers le vers libre, ou vers un certain vers libre, celui qui conservant les allures des rythmes traditionnels, se libère néanmoins de la tyrannie de la rime romantique et de la superstition du nombre constant. L'intention de faire des vers d'une forme nouvelle me paraît évidente dans ce morceau unique; les assonances, heureuses et non de hasard, en témoignent: pourpres-sourdre; terribles-marines; thyrse-triste; plages-aromates, et, comme Mikhaël connaissait l'ancienne poésie française et tes règles précises de la vieille assonance, il a voulu les respecter dans cet essai, qui, malgré sa brièveté, est,
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