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Mis à jour: 15 juin 2025
Chapitre XXIX Qui traite du gracieux artifice qu'on employa pour tirer notre amoureux chevalier de la rude pénitence qu'il accomplissait
XXIX, p. 109. Il est difficile de deviner sur quel fondement Voltaire, qui, quoi qu'on en ait dit, se trompe rarement en histoire, a écrit dans l'Essai sur les Mœurs et l'Esprit des Nations , que le Trissino était archevêque de Bénévent quand il fit sa tragédie, et que le Ruccellaï suivit bientôt l'archevêque Trissino. Il ne fut jamais archevêque ni de Bénévent, ni d'ailleurs, ni même, comme on voit, ecclésiastique. Cette erreur de fait a passé dans quelques écrits estimables , et c'est ce qui m'engage
Dans la seconde planche, on voit une figure de Bacchus assise, tenant un thyrse rustique et un petit sceptre; deux prêtresses portant des objets relatifs au culte, et plus loin un petit autel avec un thyrse. Cette peinture s'est aussi trouvée fort endommagée. CHAQUE SUJET. Hauteur, 5 p°. 6 lig. Largeur, 1 P. 4 p°. 7 lig. PLANCHE XXIV. (XXIX de l'
Clovis lui-même choisit des Romains pour les envoyer en ambassade, Aurelianus en 481, Paternus en 507 (Greg. Tur. Epist., c. XVIII, XXV). On rencontre une foule de noms romains autour de tous les rois germains: un Aridius est le conseiller assidu de Gondebaud (Greg. Tur., l. II, c. XXXII). Arcadius, sénateur arverne, appelle Childebert Ier dans l'Auvergne et s'entremet pour le meurtre des enfants de Clodomir (Id., l. III, c. IX, XVIII). Asteriolus et Secundinus, «tous deux sages et habiles dans les lettres et la rhétorique,» avaient beaucoup de crédit (en 547) auprès de Theudebert (Ibid., c. XXXIII). Un ambassadeur de Gontran se nomme Félix (Greg. Tur., l. VIII, c. XIII); son référendaire, Flavius (l. V, c. XLVI). Il envoie un Claudius pour tuer Eberulf dans Saint-Martin de Tours (l. VII, c. XXIX). Un autre Claudius est chancelier de Childebert II (Greg. de Mirac. S. Martini, l. IV). Un domestique de Brunehaut se nomme Flavius (Greg. Tur., l. IX, c. XIX). À son favori Protadius succède «le Romain Claudius, fort lettré et agréable conteur» (Fredegar., c. XXVIII). Dagobert a pour ambassadeurs Servatus et Paternus, pour généraux Abundantius et Venerandus, etc. (Gesta Dagoberti, passim)... etc., etc. Sans doute plus d'un roi mérovingien perdit dans ce contact avec les vaincus la rudesse barbare, et voulut apprendre avec ses favoris l'élégance latine: Fortunat écrit
Tite-Live, XXIX, 27: Ut ea mihi populo plebique romanae bene verruncent. Cicéron, pro Murena, I: Ut ea res mihi magistratuique meo, populo plebique romanae bene atque feliciter eveniat.
XXIX. Mais il lui manquait quelque chose; après avoir bien cherché, il vit que c'était un duel. Il soupirait autant après l'éclat, qu'il méprisait le bonheur obscur; les choses lui semblaient tout
Eginh. in Kar. M., c. XXIX. «Barbara et antiquissima carmina, quibus veterum regum actus ac bella canebantur, scripsit, memoriæque mandavit. Inchoavit et grammaticam patrii sermonis.» Suivant
Op., vol. 1, not. in ep. CCXXVIII. Bibl, Clun., Petr. Ven. epist., l. I, ep. [Note 330: «Regula illa illius sancti patris ex illa sublimi et generali caritalis regula pendet.» (Bib. Clun., Petr. epist., l. IV, ep. XVII, l. I, ep. XXIX. S. Bern. Op., ep. CLXIV
[Note 262: On verra en effet que le concile l'a condamné pour avoir dit que le corps et le sang du Christ ne pouvaient tomber par terre. Nous n'avons point la passage de l'Introduction où cela pouvait se trouver; mais nous pouvons en deviner la place quand nous lisons dans le chap. XXIX de l'
Matth., IX, 14; XI, 19. Matth., V, 23 et suiv.; IX, 13; XII, 7. Matth., XXII, 37 et suiv.; Marc, XII, 28 et suiv.; Luc, X, 25 et suiv. Matth., III, 15; I Cor., i, 17. Matth., VII, 21; Luc, VI, 46. Matth., XV, 8; Marc, VII, 6. Cf. Isaïe, XXIX, 13. Jos., B.J., VII, v, 4; Pline, H.N., XXXI, 18. Cf. Matth., XII, 1-14; Marc, II, 23-28; Luc, VI, 1-5; XIII, 14 et suiv.; XIV, 1 et suiv.
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