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XXXIX Mirac. lib. Voici autre chose: Un homme qui n'avait que vingt sous pour toute fortune se mit

Clovis lui-même choisit des Romains pour les envoyer en ambassade, Aurelianus en 481, Paternus en 507 (Greg. Tur. Epist., c. XVIII, XXV). On rencontre une foule de noms romains autour de tous les rois germains: un Aridius est le conseiller assidu de Gondebaud (Greg. Tur., l. II, c. XXXII). Arcadius, sénateur arverne, appelle Childebert Ier dans l'Auvergne et s'entremet pour le meurtre des enfants de Clodomir (Id., l. III, c. IX, XVIII). Asteriolus et Secundinus, «tous deux sages et habiles dans les lettres et la rhétoriqueavaient beaucoup de crédit (en 547) auprès de Theudebert (Ibid., c. XXXIII). Un ambassadeur de Gontran se nomme Félix (Greg. Tur., l. VIII, c. XIII); son référendaire, Flavius (l. V, c. XLVI). Il envoie un Claudius pour tuer Eberulf dans Saint-Martin de Tours (l. VII, c. XXIX). Un autre Claudius est chancelier de Childebert II (Greg. de Mirac. S. Martini, l. IV). Un domestique de Brunehaut se nomme Flavius (Greg. Tur., l. IX, c. XIX). À son favori Protadius succède «le Romain Claudius, fort lettré et agréable conteur» (Fredegar., c. XXVIII). Dagobert a pour ambassadeurs Servatus et Paternus, pour généraux Abundantius et Venerandus, etc. (Gesta Dagoberti, passim)... etc., etc. Sans doute plus d'un roi mérovingien perdit dans ce contact avec les vaincus la rudesse barbare, et voulut apprendre avec ses favoris l'élégance latine: Fortunat écrit